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Présentation[]

  • Cette nomenclature historique a été réalisée grâce aux Rapports et délibérations - Conseil Général des Alpes-Maritimes (1861-1923), les cartes d'état-major, la carte Michelin 84 de 1947, les cartes actuelles.
  • Créé le 04/02/1793 (16 pluviôse an I), le premier département des Alpes-Maritimes (85)[1] sera rattaché au Royaume de Sardaigne et deviendra en 1814 le Comté de Nice, puis la division de Nice à partir de 1818, remplacé en 1859 par la province de Nice. La Principauté de Monaco est alors rattachée au département des Alpes-Maritimes le 14/02/1793 (26 pluviôse an I). Le 15 prairial an XIII (4 juin 1805), la partie orientale de la République ligurienne (arrondissement de Saint-Rème[2]) est également rattachée au département des Alpes-Maritimes.

Périmètre géographique des anciens départements[]

 Chantier Section en cours de création 

Projet de 1803[]

  • L'instruction du 19 ventôse an XI (11 mars 1803) émet le principe d'une nouvelle classification des routes établie par le Ministère de l'Intérieur entre 1803 et 1807.
  • On ne connaît pas de projet pour le département des Alpes-Maritimes en 1803. Aucun document ne nous est parvenu.

Numérotations successives[]

  • Le nouveau département des Alpes Maritimes a été créé en 1860 après le rattachement de la Province de Nice à la France, auquel a été adjoint l'arrondissement de Grasse du département du Var.
  • En 1860, des décrets impériaux créent 2 nouvelles routes nationales (dont l'ancienne route impériale n°118) et 4 routes départementales dans l'ancien comté auxquelles s'ajoutent les 6 routes issues du département du Var. En 1861, le nouveau conseil général classe 17 chemins de grande communication (dont 13 issus du Var) et 25 chemins d'intérêt commun (dont 5 du Var) qui atteindront vite le nombre de 19 et 27, respectivement. En 1860, à l'exception de la frange littorale et de quelques axes comme celui du col de Tende, les chemins sont restés à l'état muletier par suite des interdictions de toute amélioration des routes prononcées par les administrations militaires, aussi bien du côté français que sarde, sous le prétexte des craintes d'invasion. Il faudra donc des travaux importants, sur des terrains souvent difficiles, pour mettre en place un réseau routier moderne (certains chemins comme les Gc6 ou Gc15 ne seront totalement terminés qu'après 1947). En parallèle, l'État crée de nouvelles routes nationales (7 annexe du littoral, 207, 209, 210, 211) entre 1867 et 1898.
  • En 1899, le réseau vicinal est réorganisé pour former 33 chemins de grande communication avec leurs annexes. En 1900, les routes départementales sont intégrées à la voirie vicinale par intégration à des chemins adjacents et création de 3 nouveaux Gc, dont le nombre se portera à 41 dans les années 1930.
  • La réforme de 1938 remplace les Gc par les nouveaux chemins départementaux mais la numérotation reste inchangée. Ce n'est qu'après 1947 et le rattachement à la France des zones de Tende et du Mercantour qu'une renumérotation est effectuée, qui concerne surtout les annexes, pour obtenir environ 90 chemins principaux.
  • Après la réforme de 1972, les Nxxx sont reclassées en D2xxx et suite à celle de 2005, les dernières routes nationales du département deviennent les D6xxx.
  • Les routes départementales Dxxxx situées dans la nouvelle métropole Nice Côte d'Azur sont devenues les Mxxxx. Toutefois, dans les tableaux qui suivent, pour simplifier les notations, on désignera les routes comme Dxxxx, qu'elles soient situées ou non sur le territoire de la métropole.

Évolution du réseau à partir du projet initial[]

Routes nationales[]

Nomenclature 1811-1815
Routes impériales
Situation en 1860 Nomenclature de 1870
Routes nationales
Réforme de 1933 À partir de 1978 À partir de 2006
Route N°8 de Saint-Cézaire-sur-Siagne à Taggia[3] R.I N°7 [4] N7 [4] S.N.3[5] N562 N7 N564  SS1 [6] D2562 N7  SS1 [6] D2562 D6007  SS1 [6]
Route N°103 de Séranon à Grasse[7] R.I N°85 N85 N85 D2085 D6085 D2085
Route N°116 de Mandelieu-la-Napoule à Antibes[8] R.I N°97 N97 N7 D6007
Route N°118 de Nice à Fontan[9] R.I N°204 N204 D2204 N204 D2204 D6204
Nomenclature 1860-1933 Réforme de 1933 À partir de 1978 À partir de 2006
N°7 (R.I N°8) de Paris à Antibes et en Italie[10] N7[11][12] N7[13], N564 D6007, N564
(1903-1933) par la corniche de l'Estérel N98, N7[11] N98, N7[13], D2564 D6098, D6007, D2564
annexes du littoral avec raccordements avec le port et la darse de Villefranche[14] N559[15] (emb. N559D et N559E) N98[15], N7[16] (emb. VC) D6098, D6007 (emb. VC)
annexe de l'avenue de la gare à Nice[17] N7G VC VC
N°85 (R.I N°103) de Lyon à Antibes N85[18], N567[19], D35 N85[20], D35 D6085, D35
(1870) de Lyon à Nice[21] N85 N85[18], D2085 D6085, D2085
N°97 (R.I N°116) de Toulon à Antibes N7[22] N7 D6007
N°204 (R.I N°118) de Nice à Turin[23] N204 D2204, N204[24] D2204, D6204
annexe de Breil[25] N204B N204[26] D6204
annexe de Laghet[27] N204A D2204A D2204A
N°205 de Nice à Barcelonnette[23] N202[28], N205[29] N202, D2205 D6202, D2205
N°207 d'Avignon à Nice[30] N202[31] N202 D6202
N°209 de la route nationale n°7 près de Saint-Laurent-du-Var au pont Charles-Albert par la rive droite du Var[32] N209 D2209 D2209
annexes de Vence et Colomars N210[33] D2210 D2210
N°210 du pont de Gueydan à Barcelonnette[34] N202[31] D2202 D2202
N°211 du Logis du Pin à Entrevaux[35] N211 D2211 D2211
N°212 de Thonon à Nice par les grandes Alpes[36]

puis, N°202 de Thonon à Nice par les grandes Alpes[37]

N202 D2202, N202 D2202, D6202


R.N réforme de 1933 Anciens classements À partir de 1978 À partir de 2006
N98 de Toulon à Cannes N7 N98[38], D2098 D6098, D2098
N210 du Pont de la Manda à Grasse N209A, Gc36 D2210 D2210
N559 de Marseille à Menton par le bord de mer Gc9a, Vo5, Gc8, N7A N98[39], D2559 D6098, D2559
N559C annexe d'Antibes à Juan-les-Pins Vo40 N98 D6098
N559D annexe du port de Villefranche N7A VC VC
N559E annexe de la darse de Villefranche N7A VC VC
N562 de Brignoles à Grasse Gc34 D2562 D2562
N563 de Draguignan à Séranon Gc4 (83) D563 (83)[40] D563 (83)
N564 Moyenne Corniche[41] Gc37 N7 D6007
N564A annexe de Cap-d'Ail à Monaco[42] Gc37 N207 D6307
N565 de Nice à Saint-Sauveur-sur-Tinée par la vallée de la Vésubie Gc19, Gc31 D2565 D2565
N566 de Nice à Menton par Turini Gc21, Gc22 D2566 D2566
N567 de Cannes à Grasse Vo, Gc34, Gc34a N85 D6085


Routes départementales[]

Nomenclature de 1813 Situation en 1860 À partir de 1901 À partir de 1948 Réforme de 1973 À partir de 2006
D1 (85) de Nice à Puget-Théniers R.I N°205 ; R.I N°207 N205 N207 N202[37] D6202
Nomenclature de 1860 À partir de 1901 À partir de 1948 Réforme de 1973 À partir de 2006
D1 de Nice à Saint-Martin-de-Lantosque[43] Gc19 D19, N565[44] D19, D2565 D19, D2565
D2 du confluent du Var et de la Tinée à Guillaumes puis (1867) d'Entrevaux à Guillaumes N207[45] et N210[46] N202[31] N202 et D2202 D6202 et D2202
D3 de Saint-Martin-du-Var à Roquestéron N209[47], Gc17 N209, D17 D2209, D17 D2209, D17
D4 de Sospel à Menton Gc22 N566 D2566 D2566
D5 de Cannes à Grasse[48] Gc34 N567, VC[49] N85, VC D6085, VC
D6 de Grasse à Cagnes Gc7, Vo, Gc4a, N85 D7, VC, D204, N85 D7[50], VC[51], D204[52], D2085[53] D7, VC, D204, D2085
(1870) de Grasse à Antibes Gc35 D35 D35 D35
D7 de Grasse à Vence Gc36 N210 D2210 D2210
D8 de Vence à Cagnes Gc36 D36 D36 D36
D9 de Brignoles à Grasse Gc34 N562 D2562 D2562
D10 de Comps à Entrevaux[54] Gc2a[55], N211[56] D44, N211 D44, D2211 D44, D2211


Chemins de grande communication (Gc)[]

Nomenclature de 1861 À partir de 1901 À partir de 1948
Gc1 de Vence à Roquestéron et à la R.D 3 Vo, Gc1 VC[57], D318, D1[58]
Gc2 du pont du Loup à La Valderoure Gc2 ,Gc2a[59] D2
Gc3 du Bar à la route impériale n°85[60] et à Cannes Gc3 et Gc3a D3 et D103[61]
Gc4 de Séranon à Entrevaux Gc2a[62], Gc2[63], N211[64] D79[65], D80[66], N211[67]
Gc5 de la route départementale n°9 à Saint-Auban Vo[68], Gc13[69], Gc5[70] VC, GR51, D13[71], D5[72]
Gc6 de Bouyon à Grasse Gc6 D8[73], D6[74]
Gc7 de Vence à Grasse, par Saint-Paul-du-Var Gc7 D7[75], D6[76]
(1867) annexe sur Cagnes Gc7a D6[77]
Gc8 de la R.N 85 puis (1870) de la R.D 6 au golfe Jouan par Vallauris Gc8 D135
Gc9 de Grasse à la route impériale n°97 par N.D de Vaucluse et Pégomas Gc9 D9
Gc10 de Roquestéron à Saint-Auban par Aiglun et le Mas Gc10 D10
Gc11 du pont de Riolan à Briançonnet par Sallagriffon et Collonges Gc11 N211A
Gc12 de Gréolières à Grasse par Gourdon Gc12 D3
Gc13 de la route départementale n°9 à la route impériale n°85 Gc13[78], Gc13a[79] D11
Gc14 de Nice à Aspremont et à Falicon Gc14 D14 et D114 (embr. de Falicon)
(1868) de Nice à Aspremont et à la route départementale n°1 par Falicon Gc14 D14 et D114 (embr. de la R.D.1)
Gc15 de Lantosque à la route impériale n°204 et à l'Escarène par Lucéram Gc15[80] et Gc21[81] D15 et N566
Gc16 de Guillaumes à Entraunes N210[82] N202
Gc17 de Puget-Théniers à Roquesteron Gc17 N211A[83], D17
Gc18 de Notre-Dame de Laghet[84] N204A[85] N204A
Gc19 de la route nationale n°205 à la route départementale n°1[86] Gc19 N565[87]


Chemins d'intérêt commun (Ic)[]

Nomenclature de 1861 À partir de 1901 À partir de 1948
Ic1 d'Auribeau à la route impériale n°97[88] Gc9a D509
(1867) de Pégomas à la route impériale n°97 Gc9a D109
Ic2 de Grasse à la route impériale n°7, par Valbonne et Biot Gc4 D4
Ic3 de Tourettes à Nice[89] Vo, Gc7a VC[90], D6[77]
Ic4 de Saint-Jeannet à Cagnes par La Gaude Gc18 D18
Ic5 de Saint-Jeannet à Saint-Laurent par le Plan-du-Bois Gc18a D118
Ic6 de Conségudes à Vence par Bézaudun / Ch. Mul., Piste[91]
Ic7 de Bézaudun au Broc Vo VC, Piste[92]
Ic8 du Broc au pont Charles-Albert Gc1a, N209 D101, N209
Ic9 du pont Charles-Albert à Puget-Théniers Gc27 D27
Ic10 de Puget-Théniers au pont de Villars de La Croix Gc16 D16
Ic10bis du pont de Villars de La Croix à Guillaumes[93] Gc16 D16, Ch. Mul.[94]
Ic11 de Guillaumes à la route impériale n°205, entre Saint-Étienne et Isola Gc29 D29[95], VC[96], Ch. Mul.[97], D61
(1892) annexe de Saint-Delmas-le-Selvage Gc29 D63
Ic12 de Péone à Saint-Sauveur Gc30 D29[98], D28[99], D30
Ic13 de Beuil à Rigaud Gc30a D28
Ic14 du pont du Cians à Marie Gc28 D28[100], D428, Ch. Mul[101], D59, D58
Ic15 de Saint-Martin-de-Lantosque, par Valdeblore, à la route impériale n°205 Gc31 N565
Ic16 de La Tour au hameau de La Rivière[102] par Utelle Gc32 D32
Ic17 de Villars à Malaussène Gc26 D26[103], D326
Ic18 de Levens à l'endiguement du Var par la Roquette Gc20 D20
Ic19 d'Aspremont, par Saint-Blaise, à la route départementale n°1 Gc14 D14
Ic20 de Falicon à Saint-André[104] Gc14 D114
Ic21 de Drap à l'Escarène Gc21 D21
Ic22 de Moulinet à Sospel Gc22 N566
Ic23 de Gorbio, par Sainte-Agnès, à la route départementale n°4[105] / puis Gc23 GR51[106] puis D23
Ic24 de Menton à Castellar Gc24 D24
Ic25 de Saint-Laurent à La Turbie par Èze Gc25 D45
(1892) annexe d'Èze Gc25a D46
(1892) annexe de Saint-Jean Gc25 D25
Ic26 de Clans à Villars[93] Gc26 D55, D26[107]


Nouveaux chemins de grande communication (Gc) (1901-1939)[]

Nomenclature de 1901 À partir de 1948
Gc1 du pont de Colomars à Roquesteron et annexes[108] D1[109]
annexe du Broc à la route nationale n°209 D101
annexe de Sainte-Marguerite D201
annexe des Ferres D301
annexe de Conségudes D501
annexe du Clos Martel D401
Gc2 de la route nationale n°7 près de Villeneuve-Loubet à Valderoure et annexes D2[110], D79[111], D80[63]
annexe de Caille D79[112]
annexe du col de Saint-Pierre D80[113]
annexe de Thorenc D2[114]
annexe de la Doire D144
annexe de Notre-Dame D81[112]
annexe vers Comps D44
annexe de Saint-Barnabé D302
annexe de Saint-Pons D702
Gc3 du Bar à Cannes par le Cannet et annexe D3
annexe d'Antibes D103
Gc4 de Grasse à Antibes par Biot et annexe D4
annexe de Roquefort D204
Gc5 de Saint-Vallier à Saint-Auban et annexes D5
annexe de Canaux D205
annexe de Soleilhas D305
annexe de Prignolet et Sagne D80
Gc6 de Bouyon à Grasse par Coursegoules et annexes[115] D8[73], D6[116]
annexe de Coursegoules D108
annexe de Bézaudun D208
Gc7 de Vence à Grasse par Saint-Paul-du-Var et annexes D7, D6[117]
annexe sur Cagnes D6[77]
annexe sur Opio D707
annexe sur la gare de Grasse D407
Gc8 du Gc35 à Antibes par Vallauris, Golfe-Jouan[118] et la pointe de la Garouppe[119] D135, N559
Gc9 de Grasse à la Bocca par Pégomas et annexes D9
annexe d'Auribeau D509
annexe de la Roquette-sur-Siagne D409
annexe de la Napoule D109
annexe de Cannes à la Napoule N559
annexe de la Roquette à Mouans-Sartoux D409
Gc10 de Roquesteron à Saint-Auban et annexe D10
annexe du hameau des Sausses D110
Gc11 du pont de Riolan à Briançonnet et annexes N211A
annexe de Sallagriffon D87
annexe de Gars D84
annexe des Mujouls D85
annexe de Collongues D86
annexe d'Amirat D83
Gc12 de Gréolières à Grasse et annexes D3
annexe de Courmes D503
annexe de Cipières D603
annexe de Caussols D12
Gc13 de Grasse à Saint-Vallier par Saint-Cézaire et annexes D11[120], D13[121], D5[122]
annexe de Cabris D4[123] et D11[79]
annexe de Saint-Cézaire à Mons D105
annexe des Termes et de Saint-François D13[124], D113
Gc14 de Nice à Levens par Aspremont et Saint-Blaise et annexes D14
embranchement de la Sérène à la Banquière D114
annexe sur Falicon D214
embranchement d'Aspremont à la gare de Colomars D414
annexe de Castagniers D614
branche le long du torrent de Saint-Sauveur D514
(1913) annexe d'Aspremont à Tourette-Levens D719
Gc15 de Lantosque à la pointe de Contes par Contes et annexes[125] D15, D73
embranchement de Coaraze D15[126]
(1913) annexe de Bendejun D315
annexe de Vernea et Sclos D115
annexe de Châteauneuf D815
annexe de Cantaron D515
annexe de Berre-des-Alpes D215
annexe de la Pautière à Contes D715
annexe du Vignal à Berre-les-Alpes D615
annexe de Saint-Colomban D273
Gc16 de Puget-Théniers à Châteauneuf-d'Entraunes et au col des Champs par Guillaumes et annexes D16, Ch. Mul.[127], D74[128] et D78[129]
annexe des Tourres D174
annexe de Saint-Léger D316
annexe de Puget-Rostang D116
annexe de Saint-Brès D28[130]
annexe de Sauze D76
annexe de La Croix D416
(1913) annexe de Sussis D178
Gc17 du Pont Charles-Albert à Puget-Théniers par Roquesteron et Sigale et annexes D17, N211A[83]
annexe de la Penne D417
annexe de Cuébris D317
annexe de Pierrefeu D217
annexe de Saint-Antonin D427
Gc18 de Saint-Jeannet à Cagnes et annexes D18
annexe de Saint-Laurent D118
annexe de la gare de Saint-Jeannet D318
Gc19 de Nice à Saint-Martin-Vésubie et annexes D19, N565[131]
branche de Saint-Jean-la-Rivière au Plan-du-Var N565
annexe de Pélasque D373
annexe de la Bollène[132] D70
annexe de Belvédère D71
annexe de l'Abadie D619
annexe de Tourette-Levens D419
annexe d'Utelle D132
annexe du Figaret D473
(1913) annexe de Roquebillière D69
Gc20 de Saint-Martin-du-Var à Levens et annexe D20
annexe de la Roquette-sur-Var VC
Gc21 de Drap au col de Saint-Roch par l'Escarène et annexes D21[133], N566[134]
annexe de Peille D53
annexe de Peillon D121
annexe de Blausasc D221
prolongement de l'annexe de Blausasc D321
annexe du col de Saint-Roch à la baisse de Turini (ch. stratégique) N566
annexe de Tourette-Levens D419
annexe de Lucéram à la baisse de Cabanette par le col de l'Orme (ch. stratégique) D21
prolongement de l'annexe de Peille jusqu'à la Turbie et (1913) Beausoleil D53
Gc22 de Menton à Moulinet par Sospel[135] N566
(1934) de Menton à Sainte-Agnès D22
Gc23 de Gorbio à Menton D23
Gc24 de Menton à Castellar D24
Gc25 de Saint-Jean-de-Villefranche[136] à la Turbie par Saint-Laurent d'Èze et annexes D25, D45
embranchement d'Èze D46
déviation entre le pont de Saint-Jean et la villa Sylvia D125
annexe de la Turbie ?
Gc26 de Malaussène à Villars et à Clans par Tournefort D326, D26, D55
(1936) annexe de Thiéry D226
Gc27 du Gc n°17 près du pont Charles-Albert à Puget-Théniers par Toudon et Ascros et annexes D27
annexe de Tourrette D327
annexe du col des Sausses à Gilette D227
Gc28 du pont du Cians à Marie et annexes D28[137], D428, Ch. Mul.[101], D59, D58
annexe de Rigaud D228
annexe de Lieuche D128
(1913) annexe de Touët-sur-Var D60
Gc29 de Guillaumes à Saint-Étienne et à Saint-Delmas-le-Selvage par le col de Crous D29[95], VC[96], Ch. Mul.[97], D61, N205[138], D63
Gc30 de Péone à Saint-Sauveur avec embranchement sur le Pré d'Astier et annexe D29[98], D28[99], D30
annexe de Beuil D328
embranchement sur le Pré d'Astier D28[139]
annexe de Roure D130
Gc31 de Saint-Sauveur à Saint-Martin-Vésubie et annexes N565
annexe de Rimplas D66
annexe de Venanson D31
Gc32 de Saint-Jean-la-Rivière à la route nationale n°205 par Utelle et la Tour et annexe D32
annexe de Roussillon D57
Gc33 de Villefranche au col des Quatre Chemins D33
annexe de Saint-Michel D34
Gc34 de Draguignan à Cannes par Grasse et annexes N562, N567, VC[49]
annexe sur la gare de marchandises P.L.M à Grasse D304
annexe sur la route nationale n°85 à Grasse N567[140]
annexe entre l'octroi de Rastiny et celui du Cours à Grasse D104
Gc35 de Mougins à Antibes D35
Gc36 de Grasse à Cagnes par Vence N210, D36
Gc37 de la route nationale n°7 (branche du littoral) à la Turbie D37
branche de Nice à Monaco (moyenne corniche) N564
Gc38 de la Gare de Fontan-Saorge aux villages de Fontan et de Saorge[141] D38
annexe de Berghe D42
Gc39 de Saint-Étienne-de-Tinée à Entraunes par le col de Pal[142] D139, Ch. Mul.
annexe d'Auron D39
Gc40 de Menton à Sainte-Agnès[143] D22
Gc41 de Nice à Cannes par le bord de mer[144] D41[145]


Voies ordinaires (VO)[]

  • À compléter

Réseau sous le Royaume de Sardaigne[]

  • La nomenclature des routes issues de l'Empire français a subsisté dans le Royaume de Sardaigne jusqu'en 1817. Par les Royales patentes du 29 mai 1817, les strade reali (routes royales), comunali (communales) et private (privées) sont créées. Les strade provinciali (routes provinciales) sont créées à partir de 1823 et les strade consortili (routes consortiales) à partir de 1838. Les routes royales deviennent des strade nazionali (routes nationales) par la loi du 2 mai 1855, qui reclasse par la même occasion des routes provinciales en routes nationales.
  • Pour rappel, l'ancien département des Alpes-Maritimes créé en 1793, modifié territorialement en 1798, correspondait dans sa partie sarde au comté de Nice, devenu la division de Nice de 1818 à 1859 (découpée en trois provinces), puis la province de Nice jusqu'en 1861 (découpée en trois arrondissements). On peut remarquer que la nomenclature sarde du réseau routier de l'époque semble inclure la Principauté de Monaco dans son territoire, du fait que cette dernière était sous protectorat sarde de 1815 à 1861.
  • Les États sardes conservent donc l'organisation napoléonienne des différents axes routiers en réadaptant les itinéraires depuis Turin, la capitale des États sardes de terre-ferme, sans toutefois numéroter les axes.

Routes royales (de 1817 à 1855)[]

  • Les strade reali (S.R.) sont organisées en plusieurs catégories[146] :
  1. les strade reali postali (routes royales postales)
  2. les strade commerciali (routes commerciales)
  3. les strade per le tappe militari (routes pour les troupes militaires)
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada reale :
Nomenclature de 1817 Situation en 1861
S.R. postale de Nice, dite Route du Var (ou vers la Provence), de Turin au pont sur le Var, par Carignan, Raconis, Savillan, Sental, Coni, Robilant, Limon (ou Limone), col de Tende, La Giandola (Breil-sur-Roya), Sospel, L'Escarène, Nice et Antibes.[147] R.I. N°204 R.I. N°7
S.R. commerciale de Turin à Nice, par Coni et Tende[148] R.I. N°204
S.R. militaire de communication de Pavie à Nice-Maritime, par San Martino Siccomario, Casatisma, Casteggio, Voghera (ou Voguère), Tortone, Alexandrie, Félissan, Aste, Saint-Damien (ou Saint-Damian-d'Asti), Albe, Bra, Fossan, Coni, Borgo San Dalmazzo, Rocavion, Limon (ou Limone), Tende, Sospel, L'Escarène et Nice[149]


Routes nationales (de 1856 à 1860)[]

  • Les strade nazionali (S.N.) remplacent les strade reali (S.R.) à partir de 1855, reclassant quelques strade provinciali (S.P.), toutes classées entre 1817 et 1823.
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada nazionale :
Nomenclature de 1855 Situation en 1861
S.N. de Turin à Nice (ou du Var)[150] R.I. N°204 R.I. N°7
S.N. de Nice à Voltri (Gênes)[151] R.I. N°7


Routes provinciales (de 1823 à 1860)[]

  • Les strade provinciali (S.P.) sont organisées en plusieurs catégories[146] :
  1. les strade postali non reali o provinciali (routes postales non royales ou provinciales)
  2. les strade provinciali (routes provinciales)
  3. les strade per le tappe militari (routes pour les troupes militaires)
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada provinciale[152] :
Nomenclature de 1823 Situation en 1856 Situation en 1861
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[153] DE NICE
S.P. de Nice à Sanremo, par Villefranche, la Turbie et Menton[154] S.N. de Nice à Voltri (Gênes)[151] R.I. N°7
S.P. postale non royale de Nice à Gênes, dite de la Corniche, par Menton, Vintimille, Sanremo, Santo Stefano al Mare, Oneille (Imperia), Alassio, Albengue, Finale Ligure, Savone et Voltri[155]
S.P. militaire de communication de Savone à Nice-Maritime, par Vado Ligure, Noli, Finale Ligure, Pietra Ligure, Loano, Albengue, Alassio, Oneille (Imperia), Port-Maurice (Imperia), Santo Stefano al Mare, Sanremo, Bordighera, Vintimille, Menton et Nice[156]
S.P. de Nice à Barcelonnette, par Levens, la Tour, Clans et Saint-Étienne[157] [158] R.I. N°205
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[153] DE SANREMO
S.P. de Sanremo à Nice, par Bordighera, Vintimille et Menton[159] S.N. de Nice à Voltri (Gênes)[151] R.I. N°7 // S.N. de Nice à Voltri (Gênes)[151]
S.P. postale non royale de Nice à Gênes, dite de la Corniche[155]
S.P. militaire de communication de Savone à Nice-Maritime[156]
S.P. de Sanremo à Coni, par Breil-sur-Roya[160] [161] // S.P. de Sanremo à Coni


Routes consortiales (de 1838 à 1860)[]

  • Les strade consortili (S.C.) complètent le réseau routier sarde à partir de 1838. Quasi inexistantes, ce n'est que par une loi du Gouvernement sarde en date du 26 juin 1853 qu'il ordonnera de construire quatre routes consortiales dans la province de Nice[162], en complément de l'ancienne route consortiale de la Roya. Nous n'avons aucun renseignement sur les routes consortiales de la province de San Remo.
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada consortile :
Nomenclature de 1838 Situation en 1861
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[153] DE NICE
S.C. de Nice à Barcelonnette, par les vallées du Var et de la Tinée (de la Tinée)[163] R.I N°205
S.C. de Nice à Saint-Martin-Lantosque (de la Vésubie)[164] R.D n°1
S.C. du confluent de la Tinée et du Var, à Guillaume, par Puget-Théniers (du Var)[165] R.D n°2
S.C. de Saint-Martin-du-Var à Roquesteron (de l'Estéron)[166] R.D n°3
S.C de Sospel à Menton (de la Roya)[167] R.D n°4
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[153] DE SANREMO


Routes communales et privées (de 1817 à 1860)[]

  • Les strade comunali peuvent être organisées en strade mulatiere (chemins muletiers) et en sentieri (sentiers).
  • Les strade private sont de deux catégories. On distingue celles qui sont grevées du service publique et celles qui ne le sont pas.

Liens et documents externes[]

Notes et réferences[]

  1. 85 est le code postal établi lors de la création du département des Alpes-Maritimes
  2. Redevenu San Remo après 1814, orthographié Sanremo depuis 2002
  3. de Paris à Rome, par Gênes et Florence
  4. 4,0 et 4,1 Classée en Route nationale (non numérotée) dans le Royaume d'Italie par la loi italienne du 20 mars 1865
  5. Le décret du 4 décembre 1923 numérote les routes nationales italiennes de 1924 à 1928
  6. 6,0 6,1 et 6,2 La loi italienne du 17 mai 1928 reclasse les routes nationales en route d'État
  7. de Lyon à Nice, par Grenoble et Gap
  8. de Toulon à Antibes
  9. de Nice à Turin
  10. classée le 18/08/1860 pour la partie dans l'ancien comté de Nice
  11. 11,0 et 11,1 d'Antibes à Menton. À partir de 1920, de Mandelieu à Menton.
  12. À partir de 1933, du dpt. du Var à Menton. Après le déclassement de l'itinéraire par Draguignan et Grasse en 1828, les R.N 95 et 97 auraient dû devenir R.N 7. Mais jusqu'en 1920, aussi bien sur les documents que sur les cartes, elles restent désignées comme R.N 95 et R.N 97.
  13. 13,0 et 13,1 jusqu'à Nice et de Roquebrune à Menton
  14. classée le 29/12/1860
  15. 15,0 et 15,1 de Nice à Roquebrune
  16. de la D6098 à la D2564
  17. classée le 07/03/1863. Actuellement, avenue Jean-Médecin à Nice
  18. 18,0 et 18,1 du dpt. du Var à Grasse
  19. de Grasse à Mougins
  20. du dpt. du Var à Mougins
  21. classée le 29/08/1870
  22. du dpt. du Var à Antibes. À partir de 1920, du dpt. du Var à Mandelieu. Devient R.N 7 en totalité en 1933.
  23. 23,0 et 23,1 classée le 18/04/1860
  24. de Breil au tunnel de Tende
  25. classée le 12/04/1879
  26. de Breil vers Vintimille (I)
  27. classée le 11/04/1895
  28. À partir de 1920, de Nice au pont de la Mescla
  29. L'administration militaire a interdit la construction de la route au-delà de Saint-Étienne-de-Tinée. Le tracé entre Saint-Étienne et Barcelonnette n'a donc jamais été précisé. La section jusqu'au Pont Haut a été classée en 1933
  30. classée le 07/12/1867
  31. 31,0 31,1 et 31,2 À partir de 1920
  32. classée le 17/03/1891
  33. de Vence au pont de la Manda
  34. classée le 28/12/1896
  35. classée le 17/04/1898
  36. Classée le 05/04/1912. Cette numérotation demeura entièrement virtuelle sur tout son parcours dans le département en raison de la règle de rattachement des troncs communs à plusieurs routes nationales à celle du numéro le plus bas.
  37. 37,0 et 37,1 classée le 16/12/1920
  38. du dpt. du Var à La Napoule
  39. de La Napoule à Juan-les-Pins et de Nice à Roquebrune
  40. Comme avant le classement de 1933, la partie entre le dpt. du Var et le col de Valferrière est prise en charge par le département du Var
  41. sera prolongée par le contournement de Monaco en 1939
  42. classée le 16/12/1939
  43. Comprendre Saint-Martin-Vésubie
  44. de Saint-Jean-la-Rivière à Saint-Martin-Vésubie
  45. À partir de 1867, du Pont de la Mescla au Pont de Gueydan
  46. À partir de 1896, du Pont de Gueydan à Guillaumes
  47. pont Charles-Albert à partir de 1891
  48. Jusqu'en 1870, la section entre Grasse et l'actuelle D35 appartenait à la R.N 85
  49. 49,0 et 49,1 Avenue de Grasse (Cannes)
  50. de Grasse à Saint-Mathieu
  51. Ch. de la Rourée (Grasse), Ch. des Picholines (Châteauneuf-Grasse), Ch. de la Font des Dones (Opio)
  52. du pont de La Bégude à la D2085
  53. de la D204 à Cagnes
  54. la R.D 21 du Var a été prolongée sur 7 km, sans modification de classement, entre la R.N 85 et le hameau des Lattes pour rejoindre le Gc10 du Var/Gc4 des Alpes-Maritimes et a été désormais désignée comme de Comps à Entrevaux. Ceci a probablement été réalisé pour correspondre avec la direction choisie par le département des Basses-Alpes pour son Gc5 d'Entrevaux à Malamaire
  55. de la R.N 85 vers Comps
  56. À partir de 1898
  57. Ch. de Sainte-Colombe (Vence), Ch. des Sausses (Saint-Jeannet), Vieille route de Carros (Gattières) et Route Jean-Natale (Carros). La route principale actuelle entre Vence et Carros a été construite lors de la création de la R.N 209 et de son annexe.
  58. de Carros à Roquesteron
  59. de Gréolières à la Ferrière. Le tracé du Gc2 a été modifié, passant par la nouvelle route de la vallée du Loup entre Gréolières et Caille (D79).
  60. comprendre : en direction d'Antibes
  61. branche vers Antibes
  62. de la RN85 à Caille et de la Ferrière aux Lattes
  63. 63,0 et 63,1 de Caille à la Ferrière
  64. À partir de 1898, des Lattes à Val-de-Chavagne
  65. de la RN85 à Caille
  66. de Caille aux Lattes
  67. des Lattes à Entrevaux (04)
  68. de la mairie du Tignet au Brusquet
  69. du Brusquet (D13-GR51) à Saint-Vallier-de-Thiey
  70. de Saint-Vallier-de-Thiey à Saint-Auban
  71. du Brusquet à Saint-Cézaire-sur-Siagne
  72. de Saint-Cézaire-sur-Siagne à Saint-Auban
  73. 73,0 et 73,1 de Bouyon à Courségoules
  74. de Bramafan à Pont-du-Loup. Le tracé original était un chemin muletier entre Courségoules et la D2210 par Saint-Barnabé, les hauteurs de Courmes et Courmettes
  75. de Grasse (Saint-Mathieu (R.D 6) jusqu'en 1870 puis le centre-ville) à Saint-Paul
  76. entre la vallée du Loup et La Colle-sur-Loup
  77. 77,0 77,1 et 77,2 de la Colle-sur-Loup à Villeneuve-Loubet
  78. entre la RN85 et Spéracèdes
  79. 79,0 et 79,1 de la D2562 à Spéracèdes
  80. de Lucéram au Col Saint-Roch et branche de Contes. Le tracé originel entre Contes et le Col Saint-Roch était prévu par Le Vignal et les environs du Col de la Croix et le chemin Contes-Coaraze devait être une annexe.
  81. branche du Col Saint-Roch à l'Escarène
  82. de 189? à 1920, puis R.N 202
  83. 83,0 et 83,1 de Puget-Théniers au pont de Miolans
  84. classé en 1868
  85. À partir de 1895, de La Turbie à Laghet
  86. classé en 1881
  87. de Plan-du-Var à Saint-Jean-la-Rivière
  88. déclassé en Vo en 1867
  89. déclassé en 1867. La partie entre la Colle-sur-Loup, Saint-Paul et Tourettes a été reclassée en Vo, celle entre la Colle et le Gc2 reclassée en annexe du Gc7
  90. de la Colle-sur-Loup à La Sine et un embranchement vers Saint-Paul
  91. Balises rando. 41, 125, 114, 113, 112, 111, 131, 140, 129 et rejoint la D2 un peu au nord du Baou des Blancs. Ce chemin n'a jamais vraiment fait l'objet de travaux
  92. Piste de Berdine (Balises rando. 136, 135, 109, 108, 41, 42)
  93. 93,0 et 93,1 classé en 1863
  94. chemin du Col de Roua (1282 m)
  95. 95,0 et 95,1 de Guillaumes à Péone
  96. 96,0 et 96,1 de Péone à La Baumette
  97. 97,0 et 97,1 chemin du Col de Crous (2204 m)
  98. 98,0 et 98,1 de Péone à Valberg
  99. 99,0 et 99,1 de Valberg à Beuil
  100. du Pont du Cians au Pra-d'Astier
  101. 101,0 et 101,1 chemin du Col de la Sinne (1437 m). La route n'a été ouverte que dans les années 2000.
  102. Comprendre Saint-Jean-la-Rivière
  103. de la D6202 à Villars
  104. sera intégré au Gc14 en 1868
  105. ce chemin a été modifié en 1883, pour passer par le vallon de Gorbio
  106. de Gorbio à Monti
  107. de Pont-de-Clans à Villars
  108. Après 1932, de Saint-Laurent-du-Var à Roquesteron
  109. du pont de la Manda et, après 1932, de Saint-Laurent-du-Var à Roquesteron
  110. de Villeneuve-Loubet à Gréolières et de la Ferrière à Malamaire
  111. de Gréolières à Caille
  112. 112,0 et 112,1 de Caille à la D6085
  113. de la Ferrière aux Lattes
  114. de la Ferrière au Haut-Thorenc
  115. sera ensuite prolongé du Pont-du-Loup vers La Colle-sur-Loup et redénommé de Bouyon à Cagnes. La dernière partie pour joindre le Gc7 ne sera terminée qu'après 1947.
  116. de Bramafan à Pont-du-Loup, puis vers la Colle-sur-Loup
  117. du Lauron à la Colle-sur-Loup
  118. Comprendre Golfe-Juan
  119. Orthographié Garoupe de nos jours
  120. de la D6085 à Spéracèdes
  121. de Spéracèdes à Saint-Cézaire
  122. de Saint-Cézaire à Saint-Vallier
  123. de Cabris à Grasse
  124. de Spéracèdes à Grasse
  125. Le tracé originel entre Contes et le Col Saint-Roch était prévu par Le Vignal et les environs du Col de la Croix et le chemin Contes-Coaraze devait être un embranchement. Mais après la construction de ce dernier, il a été jugé préférable de faire passer la ligne principale par Coaraze (la traversée de la vallée du Paillon entre Coaraze et le Col Saint-Roch n'a été achevée qu'après 1947)
  126. de Contes à Coaraze
  127. chemin du Col de Roua (1282 m)
  128. branche de Châteauneuf-d'Entraunes
  129. branche du col des Champs
  130. de Guillaumes à Saint-Brès
  131. de Saint-Jean-la-Rivière à Saint-Martin-Vésubie
  132. sera prolongée vers le col de Turini en 1928
  133. de Drap à l'Escarène
  134. de l'Escarène au col Saint-Roch
  135. sera prolongée vers le Col de Turini. Classée R.N 566 en 1932.
  136. Comprendre Saint-Jean-Cap-Ferrat
  137. du Pont du Cians au Pra-d'Astier
  138. entre Saint-Étienne-de-Tinée et le Pont-Haut
  139. de Beuil au Pra-d'Astier
  140. entre la D2562 et la D2085
  141. classé en 1914
  142. classé en 1922
  143. classé en 1927, reclassé comme Gc22 en 1934
  144. classée en 1929. La route ne sera en fait construite que de Nice à Antibes et ouverte à la circulation après 1947 comme CD 41
  145. Devient R.N 98 en 1979
  146. 146,0 et 146,1 D'après la liste des routes royales et provinciales issue de la Notice topographique et statistique sur les États sardes (1840) et du Dictionnaire chorographique des États sardes de terre Ferme (1854)
  147. Strada reale postale di Nizza, detta anche del Varo (verso la Provenza), da Torino al ponte sul Varo, per Carignano, Racconigi, Savigliano, Centallo, Cuneo, Robilante, Limone, Colle di Tenda, Giandola, Sospello, Scarena, Nizza e Antibo
  148. Strada reale commerciale da Torino a Nizza, per Cuneo e Tenda
  149. Strada reale per le tappe militari da Pavia a Nizza-Marittima, per San Martino, Casatisma, Casteggio, Voghera, Tortona, Alessandria, Felizzano, Asti, San Damiano, Alba, Bra, Fossano, Cuneo, Borgo San Dalmazzo, Roccavione, Limone, Tenda, Sospello, La Scarena e Nizza
  150. Strada nazionale da Torino a Nizza (strada nazionale del Varo)
  151. 151,0 151,1 151,2 et 151,3 Strada nazionale da Nizza a Voltri (Genova)
  152. Ne sont indiqués dans ce tableau que les routes provinciales de la division, puis de la province de Nice qui sont revenus en territoire français à partir de 1861
  153. 153,0 153,1 153,2 et 153,3 Province de 1818 à 1859, puis arrondissement jusqu'en 1860 pour la partie territoriale revenue à la France en 1861
  154. Strada provinciale da Nizza a San Remo, per Villafranca, Turbia e Mentone
  155. 155,0 et 155,1 Strada provinciale postale non reale da Nizza a Genova, detta de la Corniche, per Mentone, Ventimiglia, San Remo, San Stefano, Oneglia, Alassio, Albenga, Finale, Savona e Voltri
  156. 156,0 et 156,1 Strada provinciale per le tappe militari da Savona a Nizza-Marittima, per Vado, Noli, Finale, Pietra, Loano, Albenga, Alassio, Oneglia, Porto Maurizio, San Stefano, San Remo, la Bordighera, Ventimiglia, Mentone e Nizza
  157. Strada provinciale da Nizza a Barcellonette, per Levenzo, La Torre, Clanzo e San Stefano
  158. Classée initialement en route provinciale, cet axe resté à l'état de sentier non viabilisé par les services des routes sardes sera reclassé en 1853 en route consortiale
  159. Strada provinciale da San Remo a Nizza, per Bordighiera, Ventimiglia e Mentone
  160. Strada provinciale da San Remo a Cuneo, per Breglio
  161. Classée en RN204B en 1879
  162. D'après les archives de la ville de Nice (pp 9-10), la route consortiale de Villefranche aurait été construite entre 1852 et 1850 avant de devenir en 1860 l'annexe de la RI n°7 ; ces mêmes archives relatent le projet d'un percement au niveau du col de Tende étudié à partir de 1848
  163. Strada consortile della Tinea
  164. Strada consortile della Vesubia
  165. Strada consortile del Varo
  166. Strada consortile della Sterone
  167. Strada consortile della Roia


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