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Présentation[]

  • Ce tableau a été réalisé en utilisant le texte de loi de la nomenclature de 1813, les Documents statistiques sur les routes et les ponts de 1860 et les cartes et nomenclatures actuelles.
  • À l'origine, le territoire du département de Savoie est situé dans le périmètre géographique du département du Mont-Blanc (84) 1ere version[1] créé le 27 novembre 1792.
  • Suite au décret du 8 Fructidor an VIII (25 août 1798), le département du Léman (99)[2] est créé, amputant au département du Mont-Blanc les districts de Carouge, de Thonon ainsi qu'une partie de Cluses. Le 28 pluviôse an VIII (17 février 1800), le massif du Mont-Blanc passe au département du Léman mais le département du Mont-Blanc (84) 2e version[3] conserve son nom faute d'une solution satisfaisante[4].
  • Le 30 mai 1814, par le premier Traité de Paris de 1814, les frontières de l'Empire français sont ramenés à celles du 1er janvier 1792. En l'occurrence, la partie occidentale du Duché de Savoie réintègre le département du Mont-Blanc (84) 3e version[5].
  • Le 20 novembre 1815, le département du Mont-Blanc 3e version est rendu au Royaume de Sardaigne par le second Traité de Paris de 1815.
  • Par le traité de mars 1860, le département de la Savoie (73) est créé globalement sur les contours territoriaux de la province sarde de Chambéry le 15 juin 1860[6].

Périmètre géographique des anciens départements[]

 Chantier Section en cours de création 

Projet de 1803[]

  • L'instruction du 19 ventôse an XI (11 mars 1803) émet le principe d'une nouvelle classification des routes établie par le Ministère de l'Intérieur entre 1803 et 1807.
  • On ne connaît pas de projet pour les départements du Léman et du Mont-Blanc en 1803. Aucun document ne nous est parvenu.

Numérotations successives[]

  • En 1813, la Savoie (73) dans sa forme actuelle comportait 8 routes départementales toutes issues de l'ancien département du Mont-Blanc 2e version.
  • Le nouveau département de Savoie (73) est doté de 6 routes départementales classées par le décret du 1er août 1860, puis 3 autres RD par le décret du 28 août 1860. Notons que l'État a pris à sa charge l'entretien des RD n° 1 à n° 9 jusqu'en décembre 1865. Le décret du 22 décembre 1860 classe 4 autres RD, portant à 13 le nombre de routes départementales à la fin de l'année 1860.
  • Leur nombre sera progressivement augmenté jusqu'à 16 routes départementales en 1921, sans compter les annexes.
  • En 1933, à l'extension du réseau national, certains des RD et des chemins vicinaux (Gc et Ic) sont reversés au réseau national.
  • Lors de la départementalisation des chemins vicinaux, on reprend un système simple à quelques exceptions près. Les routes départementales subsistantes sont fondues dans le prolongement des itinéraires de l'ancienne voirie vicinale[7], les chemins vicinaux de grande communication (Gc) sont numérotés avec des nombres supérieurs à 200[8] et les chemins vicinaux d'intérêt commun sont numérotés entre 1 et 199.
  • Les déclassements successifs des routes nationales vont accroître la consistance du réseau routier départemental. Celles qui ont été déclassées en 1973 sont numérotées avec des nombres commençant par 900 et celles qui l'ont été en 2005, par des nombres commençant par 1000[9].

Évolution du réseau à partir du projet initial[]

Routes nationales[]

Nomenclature de 1811
Routes impériales
Nomenclature de 1860
Routes impériales
Nomenclature de 1870
Routes nationales
Réforme de 1933 Réforme de 1949 Réforme de 1972 À partir de 2006
Route n° 7 de Pont-de-Beauvoisin à Lanslebourg-Mont-Cenis[10] R.I. n° 6 N6 D1006
Route n° 109 de Porte-de-Savoie à Bourg-Saint-Maurice [11] R.I. n° 90 N90 D1090 N90 D990
Nomenclature de 1860
Routes impériales
Nomenclature de 1870
Routes nationales
Réforme de 1933 Réforme de 1949 Réforme de 1972 À partir de 2006
R.I. n° 201 de Chambéry à Genève, par Annecy N201 N201 N491 D1201 N201 D991
R.I. n° 202 de Grenoble à Thonon par Albertville et Sallanches N202 N212[12] D1212
/ N202[13] D902
/ N212[14] N202 N90 N212 D902 D1090 N90 D1212
Réforme de 1933 Réforme de 1949 Réforme de 1972 À partir de 2006
N491 de Mijoux à Chambéry par Châtillon-de-Michaille et l'est du lac du Bourget N491 N201 D991 N201 D991 D1201
N491B, annexe par Saint-Germain N491B D991B
N491C, annexe par Albens N491C D991C
N491D, annexe d'Aix-les-Bains N491D D991D
N504 de Roanne à Ruffieux N504 D904
N508 de Bellegarde à Albertville par l'ouest du Lac d'Annecy N508 D1508
N509 d'Annecy à Chamonix par le col des Aravis et Saint-Gervais-les-Bains N509 D909
N510 d'Aix-les-Bains à Genève par Rumilly N510 D910
N511 d'Aix-les-Bains à Aiguebelle par le Châtelard N511 D911
N512 d'Annecy à Grenoble par le Revard et la Chartreuse N512 D912
N512E[15], antenne de Saint-Alban-Leysse à La Ravoire N512E N512 D1512
N513 d'Aix-les-Bains aux Déserts par le Revard N513 D913
N513A[16], antenne du Revard N513A D913A
N514 de Bellegarde-sur-Valserine à Chambéry par l'ouest du Lac du Bourget N514 D914 N504 D914 D1504
N514A, annexe du col du Chat N514A D914A
N514B, annexe du Bourget N514B N211[17] D1201A
N515 de Moutiers-en-Tarentaise à Pralognan-la-Vanoise N515 D915
N515A, annexe de Moutiers-en-Tarentaise à Saint-Martin-de-Belleville N515A D915A[18] D117
N516 de la Tour-du-Pin à Chambéry N516 N516 D916
N516A, annexe de Saint-Genix au Pont-de-Beauvoisin N516A D916A
N520 de Bourgoin aux Échelles par Voiron N520 D920
N521 de Ruffieux aux Échelles N521 D921
N521A, annexe d'Yenne à Bourdeau N521A N504 D1504
N521B, annexe d'Yenne à Saint-Genix N521B N504 N516 D1504 D1516
N521C, annexe de Saint-Jean-le-Chevelu N521C D921C
N521D, annexe d'Aiguebelette N521D D921D
N521E, annexe du Pont-de-Beauvoisin N521E D921E
N523 de Grenoble à Montmélian par la rive gauche de l'Isère N523 D923
N525 de Grenoble à Roselend par Allevard et Albertville N525 D925
N525B, annexe de la Rochette à Pontcharra N525B D925B
N526 de Clelles à Saint-Jean-de-Maurienne N526 D926
N527 du col du Glandon à la Chambre N527 D927
/ N504A[19] N504 D1504
/ / N512[20] D1512
/ / N201A[21] D1201 N201
/ / N208 / N201[22]
/ / N211[23] D1201A
/ / N220[24] D10
/ / N504[25] D1504
/ / N516[26] D1516
/ / N543[27]
/ / N566[28] N543
/ / N1090[29] D990


Routes départementales[]

Nomenclature de 1813 Situation en 1860 Réforme de 1933 Réforme de 1973 En 2005
D1 (84) de Chambéry à Genève, par Annecy N201 N201 D991 D1201 D991
D2 (84) d'Annecy à Albertville, par Ugine RD1 (73) N202 N212[12] D1212
D3 (84) d'Aix[30] au port de Puer RD3 (73) N491 N491D D991 D991D
D4 (84) de Chambéry à Belley, par le Mont-du-Chat et Yenne RD5 (73) Ic18 (73) N491 N514 N521A N521B D991 D914 N504 D991 D914 D1504
D6 (84) du Pont-de-Beauvoisin à Belley, par Saint-Genix et le bac de la Balme RD10 (73) N516A N521B D916A N516 D916A D1516
D7 (84) du Pont-de-Beauvoisin à Chambéry, par la montagne d'Aiguebelette RD7Et (73) Gc4 (73) RD10 (73) N521E N521D [31] N516 D921B D921E D921F D921D [31] D916
D8 (84) de Moûtiers à Briançon, par Saint-Jean et Saint-Martin-de-Belleville, le col des Encombres, Saint-Michel et le col du Galibier Gc19 (73) N515A [31] [32] N515A D915A[18] [31] D82 (73) D902 D117 [31] D82 (73) D902
D9 (84) de Moûtiers à Lans-le-Bourg, par la vallée de Bozel et le col de la Vanoise RD6 (73) N515 [31] [32] D915 [31] D83 (73)


Nomenclature de 1860 Réforme de 1933 Réforme de 1973 En 2005
D1 d'Ugine à Seyssel, par Annecy N508 D1508
D2 d'Albens à Saint-Julien, par Rumilly N510 D910
D3 d'Aix[30] à Seyssel, par la Chautagne N491 D991
D3Et, embranchement sur le port Puer, près d'Aix[30] N491D D991D
D3Et (18xx), embranchement vers Culoz[33] N504 D904
D4 du pont d'Ayton[34] au pont de Grésy[35] N525 D4 D925 D222
D5 de Chambéry à Belley, par le Mont-du-Chat et le pont de la Balone N504 N514 N514A N504 D914 D914A D1504 D914 D914A
D6 de Mouthiers[36] à Bozel et à Pralognan[37] N515 D915
D7 des Échelles à Lucey, par Novalaise et Saint-Jean-du-Chevelu[38] N521 N521C D921 D921C
D7Et (1926) embranchement d'Aiguebelette au Pont-de-Beauvoisin[39] N521D N521E D921D D921E
D7Et (1xxx) embranchement de La Bridoire vers Saint-Albin-de-Vaulserre (38) D7Et D203
D8 de la gare de Saint-Pierre-d'Albigny à Aix[30], par Saint-Pierre-d'Albigny, le Châtelard et Grésy[40] [41] N511 D911
D9 de Pontcharra à Beaufort, par la Rochette et Albertville N525B N525 D925B D925
D10 de Pont-Beauvoisin à Culoz, par Saint-Genix, Yenne, Lucey et Chanaz N516A N521B N521 D916A N516 N504 D916A D1516 D1504
D11 de Chambéry à Annecy, par les Déserts, le col de Plain-Palais, Lescheraines et le col de Leschaux N512 D912
D12 de Montmélian à la station de Chamousset, par Coise, Maltaverne et le pont de Bourgneuf D12 D204
D13 de Pontcharra à Montmélian, par la rive gauche de l'Isère et le pont de Montmélian N523 D923
D14 (1879) d'Allevard à Pontcharra [1] N525 D925
D15 (1914) de Flumet au col des Aravis[42] N509 D909
D16 (1921) de la gare de Saint-Jean-de-Maurienne au col du Glandon[43][2] N526 D926


Chemins de grande communication (Gc)[]

  • Les chemins vicinaux de grande communication (Gc) sont classés à partir de 1861.
Nomenclature de 1861 Réforme de 1938 En 2005
Gc1 de Chambéry à Albertville et Faverges, par Chacusard, Francin, Saint-Pierre-d'Albigny et Grésy-sur-Isère D201 D201C
Gc2 de Montmélian à la Rochette, par les Mollettes et la Chapelle-Blanche D202
Gc3 de Chambéry à Saint-Pierre-d'Entremont, par le col du Frène N512 D912
Gc4 de Novalaise à Saint-Genix, par le col de la Crusille[44] N516 D916
Gc5 de Cusy à Rumilly, par Héry et Alby[45] D3 (74)
Gc5 (18xx) d'Aix[30] à Chambéry N491 D1201
Gc5Et (18xx) embranchement du Bourget N514E D1201A
Gc6 de Chambéry à Lescheraines, par Aillon[46] D206
Gc7 d'Allevard à la station d'Épierre, par le col du Grand-Cucheron D207
Gc8 de Pontcharraz à la station de Saint-Pierre-d'Albigny, par Villardhéry D202
Gc9 d'Aiguebelette au Pont-Beauvoisin, par le Gué-des-Planches N521D N521E D921D D921E
Gc10 de Sainte-Marie-d'Alvey à Saint-Beron, par la Bridoire[47] D7Et D203
Gc10 (18xx) de Chevelu à Lucey D210
Gc11 de Chambéry à Albens, par le Montcel et Saint-Offenge D211 N513 D211 D913
Gc11Et embranchement sur Saint-Offenge et le Cornet D211A
Gc12 de la Biolle à Rumilly, par Cessens N491B D58 D991B D58
Gc13 d'Aigueblanche à Saint-Sorlin-d'Arve, par le col de la Madeleine, la Chambre, Saint-Alban-des-Villards et le col du Glandon[48] D94 [31] D213
Gc14 de Saint-Michel au col du Galibier, par Valloires N202[49] D902
Gc15 de Termignon à Pralognan, par le col de la Vanoise[50] / /
Gc15 (187x) de Modane à Pralognan D215 D215E D215AD D215F [51]
Gc16 de Lanslebourg à Bourg-Saint-Maurice, par Bonneval, le Mont-Iseran, le val de Tignes et Séez N202[49] D902
Gc17 de Bourg-Saint-Maurice à Beaufort, par le Chapieux et le col des Cormets de Roselin N202[49] N525 D902 D925
Gc18 d'Aime à Mégève, par le col du Petit-Cormet, Beaufort, Hauteluce et le col du Vésy ou du Pachon[52] D218 D218D N525 D218B D218C N509[53] D218 D218D D925 D218B D218C D909[53]
Gc19 de Moûtiers au col de la Gouille, par le col des Encombres et la vallée de l'Arvan[54] N515A D219 N526 D915A D219 D926
Gc20 de Moûtiers à Bourg-Saint-Maurice, par la rive gauche de l'Isère D220
Gc21 (18xx) de Saint-Michel à Modane D215B [31] D215C D215


Chemins d'intérêt commun (Ic)[]

  • Les chemins vicinaux d'intérêt commun (Ic) sont classés à partir de 1861.
Nomenclature de 1861 Réforme de 1938 Situation en 2005
Ic1 de Chambéry à Cognin, par le pont d'Hyères et la rive gauche du torrent d'Hyères[55] D1
Ic2 de Chambéry à Aiguebelette, par Cognin et le col du Crucifix[56] N516 [51] D916 [51]
Ic2 (18xx) de Montmélian à Chapareillan D2
Ic3 de Chambéry à Novalaise, par la Croix de Bissy, le col de l'Épine et Nances D3
Ic4 de Chambéry au Pas-de-la-Fosse, par les Charmettes D4
Ic5 de Chambéry à Saint-Jeoire, par la Peysse et le pont des Galaz D5
Ic6 de Chambéry à Savons-sur-Montagnole, par la cascade de Jacob D6
Ic7 de Chambéry à Entremont-le-Vieux, par Saint-Cassin, le col de la Croix du Mollard et les Déserts D7
Ic8 de Chambéry à Pragondran, par l'hospice de Bassens, la Grande-Clusaz et Verel D8
Ic9 de la Croix de Bassens à Saint-Badolph, par Saint-Alban, Barby et Triviers D9
Ic10 de Chambéry à Voglans, par Caramagne et Saint-Ombre D10
Ic11 de Chambéry à Cruet, par la Leysse, Curienne et la Thuile D11
Ic12 de Chambéry aux Marches, par le Bocage, le Gât et Saint-André D12
Ic13 de Chambéry à Bourdeau, par la Motte-Servolex, la Serraz et les Catons[57] D13
Ic14 de Cognin au Bourget, par la Croix de Bissy, la Motte-Servolex et la Croix d'Etremblay D14
Ic15 de Saint-Sulpice à la Motte-Servolex, par la Croix de Ronjoux D15
Ic16 de la Motte-Servolex à Méry, par le pont sur Leysse et Sonnaz-le-bas D16
Ic17 du Bourget à Clarafond, par la Prairie et le Vivier D17 [58] D17
Ic17Et (18xx) embranchement du Vivier au Bourget D17B
Ic18 de Bourdeau à Chindrieux, par Ontex, Saint-Pierre-de-Curtille, Conjux et Châtillon N514 D914
Ic19 de Notre-Dame-de-Myans (ou Myans) au pont de Boëge, longeant le chemin de fer Victor-Emmanuel D19
Ic20 de la Chavanne à la Chapelle-Blanche, par Sainte-Hélène du Lac et Villaroux[59] D20
Ic21 de la station de la route de Grenoble aux Déserts, par Saint-Jeoire, la Boisserette et Thoiry[60] D21
Ic22 de la station de la route de Grenoble (Les Marches) à Chapareillan, par Notre-Dame-de-Myans (ou Myans) D22
Ic23 de la Rochette à Champlaurent, par Étable D23
Ic24 du Bourget-en-Huile à la Table, par les Mermets D24
Ic25 du Pontet à la route départementale n° 9 sous Villard-Léger, par Champlaurent[61] D25
Ic26 du Pontet à Chamoux, par le Sapey et Montendry[62] D26
Ic27 de la Rochette au pont d'Aiton sur la route départementale n° 9, par Rotherens et Villard-Léger D27
Ic28 de la Rochette à Bourgneuf, par la Croix de la Rochette, Villard-Sallet, la Trinité et Betton-Bettonet D28
Ic29 des Mollettes à Saint-Jean-Pied-Gauthier, par les Mollettes et Saint-Pierre-de-Soucy[63] D29
Ic30 de Chamoux à Coise, par Bettonet et Hauteville D30
Ic31 de la station de Saint-Pierre-d'Albigny à la Trinité, par Villard-Chat, Villardhéry et la Cochette D31
Ic32 du pont de Chamousset à la vallée d'Aillon, par Saint-Pierre-d'Albigny et le col de la Sciaz D32 [51] D32A
Ic33 du pont de Coise à la Trinité, par Villardhéry D33
Ic34 du pont de Coise à Planaise, par Rubaud et la Plaine D34
Ic35 du Pont-Beauvoisin à Meyrieux, par le pont de la Belle-Étoile, le col de la Crusille et Gerbaix D35
Ic36 du Pont-Beauvoisin à Novalaise, par Verel-de-Montbel et le col du Banchet D36
Ic37 du Gué des Planches à Ayn, par Dullin D37
Ic38 de Saint-Franc à Belmont, par Saint-Beron, la Bridoire, Domessin et le pont de la Belle-Étoile D38
Ic38Et embranchement sur Voissant (Isère) D7Et D203
Ic39 des Échelles à Lépin, par Saint-Franc et Oncin D39
Ic40 de Novalaise à Yenne, par Gerbaix, la Croix, Beyrin et la Dragonnière D40
Ic40Et embranchement de Traize à la Chapelle-Saint-Martin D40E
Ic41 d'Yenne à Nances, par Volontaz, Saint-Paul, Meyrieux, Verthemex et Marcieux D41
Ic42 de Saint-Genix à Saint-Paul, par Gresin, Saint-Maurice-de-Rothereins et le col de Maupasset D42
Ic43 de Saint-Genix à Sainte-Marie-d'Alvey, par les Urices D43
Ic44 d'Yenne à Billième, par le Paquier D44
Ic45 de Saint-Jean-de-Couz à Saint-Pierre-d'Entremont, par Corbel D45 Vo D45 C7
Ic46 du pont de Saint-Martin sur le Guiers à Saint-Pierre-de-Genebroz, par Saint-Christophe[64] D46
Ic47 de Cognin à Saint-Thibaud-de-Couz, par Vimines D47
Ic48 d'Aix-les-Bains à Mouxy, par les Picolets N513 D913
Ic49 d'Aix[30] à Saint-Félix, par Grésy[40] et Saint-Girod[65] N513 D49 D913 D49
Ic50 d'Aix[30] au Bourget, par les Terrels et le pont Ruffier D50
Ic51 de Méry à Voglans, par le Viviers D51
Ic52 d'Albens au chemin de grande communication n° 12, par le col Mollard N491C D991C
Ic53 du moulin de la Verdasse sur le Sierroz à l'ancienne route de Genève chez Michaud, par Epersy et Mognard D53
Ic54 d'Albens au moulin Manché sur le chemin de grande communication n° 12, par le col Mollard D54
Ic55 de Ruffieux à Rumilly, par Montagnier D55
Ic56 de Chindrieux à Châteaufort, par Ruffieux, Serrières et Motz D56
Ic57 de Chindrieux à Chanaz, par les marais de Chautagne D57
Ic58 de Châtillon à la Biolle, par la Chambotte N491B D991B
Ic59 du Châtelard au chemin de grande communication n° 6 sous Aillon-le-Vieux, par Mollardier[66] D59
Ic60 de Doucy à École, par la Compôte et Jarsy D60
Ic60Et embranchement sur le pont du Chéran à la Compôte D60A
Ic61 du Châtelard à la route départementale n° 11, sous Entrève, par la Motte et Bellecombe D61
Ic62 de Saint-François-de-Sales à Lescheraines, par Arith et le pont de Banges D62
Ic62Et embranchement sur le pont du moulin Prérouge D62B
Ic63 d'Albertville à Allondaz, par Chevronnet D63
Ic63Bis (1877) d'Aidier au fort de Lestal et au Bois[67] D104A D63 D104 [51] D63A
Ic64 de Grignon au col de Tamié, par le pont de Gilly sur l'Isère et Plancherine D64
Ic65 de la Bâthie à Beaufort, par le col de la Madeleine et Arêche D65 [51] D218A
Ic66 de la Bâthie à Feissons-sous-Briançon, par le pont de la Bâthie, Esserts-Blay, Saint-Paul et Rognaix D66
Ic67 d'Ugine à Queige, par le col de la Forclaz D67
Ic68 de Notre-Dame-de-Bellecombe au col des Aravis, par Flumet et la Giettaz[56] [68] N509[53] D909[53]
Ic69 d'Aiguebelle à Faverges, par le pont d'Aiguebelle, Bonvillard, Sainte-Hélène-des-Millières et le pont de Frontenex[69] D69
Ic69Bis (1877) de Chamousset à Montperché[67] D102
Ic70 du Villard de Beaufort à Hauteluce, par les Vanches D70
Ic71 d'Ugine à Notre-Dame-de-Bellecombe, par la rive gauche de l'Arly, par Cohennoz, Crest-Volant et le pont de Bellecombe D71 D71A D71B
Ic72 d'Aiton à la Corbière, par le pont de Chapedey et Randens D72
Ic73 de la Croix d'Aiguebelle au pont des Chèvres, par Aiguebelle et Saint-Georges-des-Hurtières D73
Ic74 du pont des Chèvres au pont de la Madeleine, par Saint-Léger, Saint-Rémi, Saint-Étienne-de-Cuines et Sainte-Marie-de-Cuines D74
Ic75 d'Épierre aux Chavannes, par la Chapelle-Gondrand D75 D75E
Ic76 du pont de la Madeleine à Montgelafrey, par Saint-Avre, la Chambre et Notre-Dame-du-Cruet D76
Ic76Et embranchement sur Notre-Dame-du-Cruet D76A
Ic77 de Saint-Jean-de-Maurienne à Montpascal, par le pont d'Hermillon et Pontamafrey D77
Ic78 de Saint-Jean-de-Maurienne à Saint-Jean-d'Arves, par le col d'Arves[70] D78
Ic79 de Saint-Julien à Mont-Denis, par la Chapelle du Cré et le hameau de l'Église[71] D79 D79A
Ic80 de Saint-Jean-de-Maurienne à Belleville, par le plan d'Albiez D80
Ic80Et (18xx) embranchement du Chalmieux D80A
Ic81 de Saint-Jean-de-Maurienne à Valloires, par Montricher, Albane, Albanette et le pont des Anglais D81
Ic81Et embranchement sur la station de Saint-Martin-de-la-Porte D81A
Ic82 de Saint-Michel à Beaune, par Villard-Putinet et Plan-Villard D82
Ic83 de Saint-Michel à Termignon, par Orelle, Saint-André, Avrieux, les forts d'Esseillon et Aussois[72] D83
Ic83Et embranchement sur la route impériale n° 6, par les ponts de Sapraz, de Montfort, de Fourneau, d'Outraz et d'Avrieux[73] / /
Ic84 de Séez à Villaroger, par Montvalézan et Sainte-Foy D84
Ic85 de Moûtiers à Villette, par Hautecour D85 [51] D85B
Ic86 d'Aime à Bourg-Saint-Maurice, par la Côte-d'Aime et Granier D86
Ic86Et embranchement de Montéméry à Granier D86A
Ic87 des Chapelles au col du Palet, par Bellentre et Landry D86B D87
Ic88 de Moûtiers à Aime, par Saint-Marcel, Notre-Dame-du-Pré, Crey et Longefoy D88
Ic89 de Salins à Bozel, par Montagny D89
Ic89Et (18xx) embranchement de Feissons-sur-Salins D89B
Ic90 de Montagny à Saint-Martin-de-Belleville, par Brides-les-Bains, les Allues et le Pas de la Dame D90D D90C D90
Ic91 de Saint-Bon au col du Palet, par Champagny et le Bois D91A D91B [51]
Ic92 de Moûtiers à Villargerel, par Villandry D92
Ic93 d'Aigueblanche à Naves, par Grand-Cœur et Petit-Cœur D93
Ic94 de Notre-Dame-de-Briançon au col de la Madeleine, par Bonneval, Crozat et Celliers D213
Ic95 d'Aigueblanche au col de la Madeleine, par les Avanchers et Doucy D95
Ic96 de Moûtiers à Saint-Martin-de-Belleville, par Salins et Saint-Laurent-de-la-Côte D96
Ic97 de Bellecombe à Feissons-sous-Briançon[74], par Notre-Dame-de-Briançon[75] D97
Ic98 de Moûtiers à Hauteville, par les Routes et Montfort [32] [32]
Ic99 (18xx) de Saint-Avre à Montaymont D99
Ic100 (1877) de Chamoux au fort de Montgilbert [51] [51]
Ic100 (1923) du pont d'Ambin au Planay, par Bramans[76] D100
Ic101 (1877) de Fréterive à Montplan[67] D101 D101A
Ic101Et (18xx) embranchement de Miolans D101
Ic102 (1877) de Chevronnet au fort de Tamié[67] D104
Ic102 (188x) de Chamousset à Montperché[67] D102
Ic103 (1877) d'Albertville au fort du Mont[67] D105
Ic103 (188x) d'Aidier au fort de Lestal et au Bois[67] D104A D63 D104 [51] D63A
Ic104 (188x) du fort de Tamié à Chevronnet[67] D104
Ic105 (188x) d'Albertville au fort du Mont[67] D105
Ic106 (189x) de Saint-André au fort du Sapey[67] D106 [51]
Ic107 (189x) de la route nationale n° 6 au chemin de grande communication n° 15 à Lesseillon[77] [51]
Ic108 (189x) d'Aussois à la Loza[67] D108 [51]
Ic109 (189x) d'Ugine au pont du Flon, par Héry[67] D109
Ic110 (1929) de Saint-Jean-de-Maurienne à Albiez-le-Vieux[78] D110


Voies ordinaires (VO)[]

  • À compléter

Réseau sous le Royaume de Sardaigne[]

  • La nomenclature des routes issues de l'Empire français a subsisté dans le Royaume de Sardaigne jusqu'en 1817. Par les Royales patentes du 29 mai 1817, les strade reali (routes royales), comunali (communales) et private (privées) sont créées. Les strade provinciali (routes provinciales) sont créées à partir de 1823 et les strade consortili (routes consortiales) à partir de 1838. Les routes royales deviennent des strade nazionali (routes nationales) par la loi du 2 mai 1855, qui reclasse par la même occasion des routes provinciales en routes nationales.
  • Pour rappel, les anciens départements du Léman créé en 1798 et du Mont-Blanc créé en 1792, modifié territorialement en 1798, correspondaient dans leur partie sarde au duché de Savoie, devenu la division de Savoie en 1848[79] puis la division de Chambéry après 1850 (découpée en quatre provinces[80]), puis la province de Chambéry jusqu'en 1861 (découpée en quatre arrondissements[80]).
  • Les États sardes conservent donc l'organisation napoléonienne des différents axes routiers en réadaptant les itinéraires depuis Turin, la capitale des États sardes de terre-ferme, sans toutefois numéroter les axes.

Routes royales (de 1817 à 1855)[]

  • Les strade reali (S.R.) sont organisées en plusieurs catégories[81] :
  1. les strade reali postali (routes royales postales)
  2. les strade commerciali (routes commerciales)
  3. les strade per le tappe militari (routes pour les troupes militaires)
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada reale :
Nomenclature de 1817 Situation en 1861
S.R. postale de France (ou vers la France), de Turin au Pont-de-Beauvoisin, par Rivoli, Saint-Ambroise, Saint-Antonin, Suse (ou Suze), le Mollaret, Montcenis, Lanslebourg, le Verney, Modane, Saint-Michel-de-Maurienne, Saint-Jean-de-Maurienne, La Chambre, Aiguebelle, Maltaverne, Montmélian, Chambéry, Saint-Thibaud, Les Échelles et Pont-Beauvoisin.[82] R.I. N°6
S.R. postale vers la Suisse (ou de Genève), de Chambéry à Genève, par Aix-les-Bains, Albens, Saint-Donat-d'Alby (Alby-sur-Chéran), Annecy, Cruseilles et le Chable-Beaumont (Saint-Julien).[83] R.I. N°201
S.R. commerciale de Gênes à Pont-Beauvoisin, par Giochi, Novi Ligure, Alexandrie, Turin, le Mont-Cenis et Chambéry[84] R.I. N°6
_____ embranchement de Chambéry à Genève, par Annecy et Saint-Julien-en-Genevois[85] R.I. N°201
S.R. militaire de communication de Sesto Calende au Pont-de-Beauvoisin, par Arona, Borgomanero, Romagnano Sesia, Buronzo, Santya, Cavaglià, Ivrée, Settimo Vittone, Donnas, Bard, Verrès, Châtillon, Aoste, Morgex, Bourg-Saint-Maurice, Aime, Moûtiers, Albertville, Grésy-sur-Isère[86] R.I. N°6


Routes nationales (de 1856 à 1860)[]

  • Les strade nazionali (S.N.) remplacent les strade reali (S.R.) à partir de 1855, reclassant quelques strade provinciali (S.P.), toutes classées entre 1817 et 1823. Le Gouvernement sarde déclasse les routes nationales en routes provinciales qui sont doublées par les voies ferrées nationales.
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada nazionale :
Nomenclature de 1855 Situation en 1861
S.N. de Turin à Pont-Beauvoisin[87] R.I. N°6
S.N. d'Albertville au nouveau pont de Chamousset[88] R.I. N°90


Routes provinciales (de 1823 à 1860)[]

  • Les strade provinciali (S.P.) sont organisées en plusieurs catégories[81] :
  1. les strade postali non reali o provinciali (routes postales non royales ou provinciales)
  2. les strade provinciali (routes provinciales)
  3. les strade per le tappe militari (routes pour les troupes militaires)
  • Dans le tableau suivant sont dressées les désignations de chaque strada provinciale[89] :
Nomenclature de 1823 Situation en 1856 Situation en 1861
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA SAVOIE PROPRE
S.P. de Chambéry à Belley (France), par le Mont-du-Chat[91] R.D n°5
S.P. de Chambéry à Genève, par Rumilly[92] R.D n°2
S.P. de Chambéry à Albertville, par Grésy et Fontaine[93] S.N. d'Albertville au nouveau pont de Chamousset[88] R.I. N°90
S.P. militaire de communication de Sesto Calende au Pont-de-Beauvoisin, par Arona, Borgomanero, Romagnano Sesia, Buronzo, Santya, Cavaglià, Ivrée, Settimo Vittone, Donnas, Bard, Verrès, Châtillon, Aoste, Morgex, Bourg-Saint-Maurice, Aime, Moûtiers, Albertville, Grésy-sur-Isère[94]
S.P. de Chambéry à Grenoble, par les Marches et Barreau[95]
S.P. de Chambéry au lac du Bourget, par Aix[96] Gc n°5
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA HAUTE SAVOIE
S.P. d'Albertville à Chambéry, par Montmélian et Grésy[97] S.N. d'Albertville au nouveau pont de Chamousset[88] R.I. N°90
S.P. d'Albertville à Moûtiers, par Conflans et Cevins[98]
S.P. militaire de communication de Sesto Calende au Pont-de-Beauvoisin, par Arona, Borgomanero, Romagnano[94]
S.P. d'Albertville à Genève, par Ugine, Faverges et Marlens[99] R.I. N°202, R.D n°1
S.P. postale non royale de Moutiers à Genève, par Albertville et Annecy[100]
S.P. militaire de communication d'Albertville à Genève, par Ugine, Faverges, Duingt, Annecy, Saint-Julien, Carouge et Genève[101]
S.P. d'Albertville à Bonneville, par Ugine, Megève, Flumet et Sallanches[102] R.I. N°202
S.P. d'Albertville à la Maurienne, par Conflans et la Croix d'Aiguebelle[103] R.D n°4, R.D n°9
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA MAURIENNE
S.P. de Saint-Jean-de-Maurienne à Albertville, par Aiguebelle et Aiton[104] R.D n°4[105]
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA TARENTAISE
S.P. de Moûtiers à Albertville, par Aigueblanche[106] R.I. N°90
S.P. postale non royale de Moutiers à Genève, par Albertville et Annecy[100]
S.P. de Moûtiers à Bozel, par la Perrière[107] R.D n°6
S.P. de Moûtiers à Bonneville, par Aime, Bourg-Saint-Maurice et Saint-Gervais[108] R.I. N°90, R.I. N°202
S.P. de Moûtiers en Aoste, par Bourg-Saint-Maurice, Saint-Germain et le Petit-Saint-Bernard[109] R.I. N°90
S.P. militaire de communication de Sesto Calende au Pont-de-Beauvoisin, par Arona, Borgomanero, Romagnano[94]


Routes consortiales (de 1838 à 1860)[]

  • Les strade consortili (S.C.) complètent le réseau routier sarde à partir de 1838. À l'heure actuelle, nous n'avons que très peu de renseignements sur l'existence de ce type d'axe routier dans la division de Chambéry devenue province en 1859.
  • Dans le tableau suivant sont dressés les désignations de chaque strada consortile :
Nomenclature de 1838 Situation en 1861
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA SAVOIE PROPRE
S.C. de la Rochette (ou de la vallée de la Rochette)[110] R.D n°9
S.C. de la Chautagne[111] R.D n°3[112]
S.C. des Bauges[113] /
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA HAUTE SAVOIE
S.C. des Bauges[113] /
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA MAURIENNE
PROVINCE/ARRONDISSEMENT[90] DE LA TARENTAISE


Routes communales et privées (de 1817 à 1860)[]

  • Les strade comunali peuvent être organisées en strade mulatiere (chemins muletiers) et en sentieri (sentiers).
  • Les strade private sont de deux catégories. On distingue celles qui sont grevées du service publique et celles qui ne le sont pas.

Liens et documents externes[]

Notes et références[]

  1. 84 est le code postal établi lors de la création du département du Mont-Blanc ; le département du Mont-Blanc (84) 1ere version avait pour districts Chambéry (chef-lieu), Annecy, Thonon, Carouge, Cluses, Moûtiers et Saint-Jean-de-Maurienne.
  2. 99 est le code postal établi lors de la création du département du Léman.
  3. Le département du Mont-Blanc (84) 2e version avait pour arrondissements Chambéry (chef-lieu), Annecy, Moûtiers et Saint-Jean-de-Maurienne.
  4. Les cantons de Chamonix, de Saint-Gervais (aujourd'hui Saint-Gervais-les-Bains), de Megève, de Flumet et de Sallanches sont transférés du département du Mont-Blanc (84) au département du Léman (99).
  5. Le département du Mont-Blanc (84) 3e version avait pour arrondissements Chambéry (chef-lieu) et Annecy ; les parties restant à la France sont les cantons de Frangy, de Saint-Julien, moins quelques communes, de Reignier, ainsi que celui de La Roche. L'arrondissement de Chambéry sauf les cantons de l'Hôpital-Conflans, de Saint-Pierre-d'Albigny, La Rochette et de Montmélian. Enfin, l'arrondissement d'Annecy à l'exception d'une partie du canton de Faverges.
  6. Le décret impérial du 20 décembre 1860 modifie deux circonscriptions administratives de la Savoie (73) et de la Haute-Savoie (74).
  7. Les D4, D7Et (embranchement de La Bridoire) et D12 sont les seules routes départementales restantes en 1933, toutes reclassées dans le prolongement des Gc
  8. Les Gc8 et Gc21 sont reclassés dans le prolongement des autres chemins vicinaux ; des nombres dans la série des 200 laissés vacants sont réutilisés pour désigner une continuité d'itinéraire routier (anciennes RD) ou de nouvelles routes
  9. La D1201A classée en 2006 est issue de la RN211 ; la RN220 sera reclassée en 2006 en D10 dans la continuité de celle-ci ; des nombres dans la série des dizaines et des centaines laissés vacants sont réutilisés pour désigner des sections de la voirie vicinale (voies ordinaires ou Vo) ainsi que de nouvelles routes
  10. de Paris à Milan, par le Mont-Cenis
  11. de Grenoble à Aoste
  12. 12,0 et 12,1 classée le 22 février 1931
  13. d'Évian-les-Bains à Nice, dite Route des Alpes, classée de 1920 à 1973
  14. de Nice à Thonon-les-Bains, classée de 1912 à 1920
  15. classée de 1934 à 1978
  16. classée de 1937 à 1973
  17. classée de 1978 à 2006
  18. 18,0 et 18,1 reclassée en D117 (73)
  19. annexe de Pugieu au Pont de la Balme, classé de 1957 à 1978
  20. de La Ravoire à Chambéry, classée de 1978 à 2006
  21. Rocade Est de Chambéry classée en 1974, renumérotée en RN208 puis en RN201 à partir de 1978
  22. Rocade Est de Chambéry classée en 1978
  23. du Bourget-du-Lac à Viviers-Quatre-Chemins, classée en 1978
  24. de Chambéry à La Motte-Servolex, classée de 1978 à 199x
  25. d'Ambérieu-en-Bugey à Chambéry, classée de 1978 à 2006
  26. de La Tour-du-Pin à La Balme, classée de 1978 à 2006
  27. Rampe d'accès au Tunnel du Fréjus, classée en 2000
  28. Rampe d'accès au Tunnel du Fréjus, classée de 1980 à 2000
  29. d'Aigueblanche à Moûtiers, classée de 1989 à 2007
  30. 30,0 30,1 30,2 30,3 30,4 30,5 et 30,6 Comprendre Aix-les-Bains
  31. 31,0 31,1 31,2 31,3 31,4 31,5 31,6 31,7 et 31,8 Chemin non carrossable
  32. 32,0 32,1 32,2 et 32,3 Route ou chemin non identifié
  33. classé après 1860
  34. Orthographié Aiton depuis 19xx
  35. Comprendre Grésy-sur-Isère
  36. Orthographié Moûtiers depuis 19xx
  37. Classé par décrets des 1er août et 22 décembre 1860
  38. La RD7 est aussi référencé en tant que route des Échelles à Yenne et Chevelu
  39. ex-Gc9 déclassé en janvier 1926
  40. 40,0 et 40,1 Comprendre Grésy-sur-Aix
  41. Les Annales des Ponts et Chaussées évoquent dès 1863 le projet de RD17 allant de Saint-Pierre-d'Albigny à Aix
  42. ex-Gc18 jusqu'en 1913
  43. ex-Gc19 jusqu'en 1920
  44. Le Gc4 est prolongé de Cognin à Novalaise ; il est aussi référencé en tant que chemin de Chambéry à Saint-Genix
  45. passé dans le service vicinal de la Haute-Savoie (74)
  46. Le Gc6 est aussi référencé en tant que chemin de Chambéry au Châtelard
  47. Cet axe sera reclassé en RD7Et
  48. Le Gc13 est aussi référencé en tant que chemin d'Aigueblanche à La Combe-d'Olle
  49. 49,0 49,1 et 49,2 classée en 1920, succède à la RN212 classée en 1912
  50. déclassé avant 1870, d'après les délibérations du Conseil Général
  51. 51,00 51,01 51,02 51,03 51,04 51,05 51,06 51,07 51,08 51,09 51,10 51,11 51,12 et 51,13 Chemin de grande randonnée
  52. Le Gc18 est aussi référencé en tant que chemin d'Aime au col des Aravis ; la partie allant de Flumet au col des Aravis (et à Mégève) a été classé en RD15 en 1914, devenu dans les années 1930 la RN509
  53. 53,0 53,1 53,2 et 53,3 Classé en RD15 de 1914 à 1933
  54. Le Gc19 est prolongé au-delà de la vallée de l'Arvan jusqu'au col du Glandon, avant d'être reclassé en RD16 à partir de 1921 entre Saint-Jean-de-Maurienne et le col du Glandon, puis en RN526 en 1933
  55. L'Ic1 est aussi référencé en tant que chemin de Chambéry à La Motte-Servolex
  56. 56,0 et 56,1 déclassé en 1870, selon les délibérations du Conseil Général de 1870
  57. L'Ic13 est aussi référencé en tant que chemin de La Motte au Bourdeau
  58. route détruite au niveau de l'aéroport de Chambéry-Savoie
  59. L'Ic20 est aussi référencé en tant que chemin de la Chavanne à Pontcharra
  60. L'Ic21 est aussi référencé en tant que chemin de Saint-Jeoire aux Déserts
  61. L'Ic25 est aussi référencé en tant que chemin du Pontet à Chamoux, par la Mazure
  62. L'Ic26 est aussi référencé en tant que chemin de Chamoux au fort de Montgilbert, par Montendry
  63. L'Ic29 est aussi référencé en tant que chemin de Villaroux à Saint-Jean-Pied-Gauthier
  64. L'Ic46 est aussi référencé en tant que chemin des Andrés au pont Saint-Martin
  65. L'Ic49 correspond à l'ancienne route de Genève
  66. L'Ic59 est aussi référencé en tant que chemin de Lescheraines à Aillon-le-Jeune
  67. 67,00 67,01 67,02 67,03 67,04 67,05 67,06 67,07 67,08 67,09 67,10 et 67,11 Chemin d'intérêt stratégique entretenu par le Ministère de la Guerre par le biais de plusieurs conventions renouvelées entre le département et le Ministère
  68. reclassé en Gc18, puis classé en RD15 en 1914, devenu dans les années 1930 la RN509
  69. L'Ic69 est aussi référencé en tant que chemin d'Aiton à Frontenex
  70. Dans la nomenclature, il y est décrit pour l'Ic78Et avec embranchement sur Villarambert, par Fontcouverte, Villarambert et le col d'Arves, or il s'agit du même axe !
  71. L'Ic79 est aussi référencé en tant que chemin du pont d'Arc à Mont-Denis
  72. L'Ic83 est aussi référencé en tant que chemin d'Aussois à Pralognan ; une partie de l'Ic83 sera reclassé en Gc21 avant d'être finalement abandonné entre Saint-Michel et Fourneaux
  73. sauf conférence avec le génie militaire
  74. Comprendre Feissons-sur-Isère
  75. L'Ic97 est aussi référencé en tant que chemin de Bellecombe à Rognaix
  76. classé suite aux délibérations du Conseil Général (session de 1922)
  77. Comprendre L'Esseillon (localité de la commune d'Aussois)
  78. classé d'après les délibérations du Conseil Général (session de 1928)
  79. La délimitation territoriale établie par les autorités sardes diffère de celle établie par l'Empire français. Les contours des nouvelles divisions sardes correspondent aux futurs départements français de Savoie (73) et de Haute-Savoie (74).
  80. 80,0 et 80,1 Chambéry (Savoie Propre / Savoia Propria en italien), Albertville (Haute-Savoie / Alta Savoia en italien), Saint-Jean-de-Maurienne (Maurienne / Moriana en italien) et Moûtiers (Tarentaise / Tarantasia en italien) sont les chefs-lieux de provinces devenus arrondissements, d'où partent les routes provinciales
  81. 81,0 et 81,1 D'après la liste des routes royales et provinciales issue de la Notice topographique et statistique sur les États sardes (1840) et du Dictionnaire chorographique des États sardes de terre Ferme (1854)
  82. Strada reale postale di Francia, da Torino al Ponte-Belvicino, per Rivoli, Sant'Ambrogio, Sant'Antonino, Susa, Molaretto, Moncenisio, Lansleborgo, Verney, Modana, San Michele di Moriana, San Giovanni di Moriana, La Camera, Acquabella, Malataverne, Monmeliano, Ciamberì, San Thibaud, Le Scale e Ponte-Belvicino
  83. Strada reale postale verso la Svizzera (o di Ginevra), da Ciamberì a Ginevra, per Bagni d'Aix, Albens, San Donat d'Alby, Annesì, Cruseilles e Chables (San Giuliano)
  84. Strada reale commerciale da Genova al Ponte-Belvicino, per i Gioghi, Novi, Alessandria, Torino, Monte Cenisio e Ciamberì
  85. Quella da Ciamberì a Ginevra, per Annesì et San Giuliano di Geneva o San Giuliano nel Genevese
  86. Strada reale per le tappe militari da Sesto Calende al Ponte-Belvicino, per Arona, Borgomanero, Romagnano, Buronzo, Santhià, Cavaglià, Ivrea, Settimo Vittone, Donaz, Bard, Verres, Châtillon, Aosta, Morgex, Borgo San Maurizio (o Borgo San Morizio), Aime, Moutiers, Albert-Ville, Gresi, San Pietro d'Albignì, Monmeliano, Ciamberì, Le Scale e Ponte-Belvicino
  87. Strada nazionale da Torino al Ponte-Belvicino ; cet axe ne semble pas avoir été déclassé en route provinciale lors de l'ouverture de la ligne Victor Emmanuel car elle n'atteignait pas Saint-Jean-de-Maurienne au moment de la reprise du territoire par la France en 1861
  88. 88,0 88,1 et 88,2 Strada nazionale da Albert-Ville al nuovo ponte di Chamousset
  89. Ne sont indiquées dans ce tableau que les routes provinciales de la division, puis de la province de Chambéry qui sont revenues en territoire français à partir de 1861
  90. 90,0 90,1 90,2 90,3 90,4 90,5 90,6 et 90,7 Province de 1818 à 1859, puis arrondissement jusqu'en 1860 pour la partie territoriale revenue à la France en 1861
  91. Strada provinciale da Ciamberì a Belley (Francia), per il monte di Chat
  92. Strada provinciale da Ciamberì a Ginevra, per Rumilì
  93. Strada provinciale da Ciamberì ad Albert-Ville, per Gresi e Fontana
  94. 94,0 94,1 et 94,2 Strada provinciale per le tappe militari da Sesto Calende al Ponte-Belvicino, per Arona, Borgomanero, Romagnano, Buronzo, Santhià, Cavaglià, Ivrea, Settimo Vittone, Donaz, Bard, Verres, Châtillon, Aosta, Morgex, Borgo San Maurizio (o Borgo San Morizio), Aime, Moutiers, Albert-Ville, Gresi, San Pietro d'Albignì, Monmeliano, Ciamberì, Le Scale e Ponte-Belvicino
  95. Strada provinciale da Ciamberì a Granopoli, per Les Marches e Barreau
  96. Strada provinciale da Ciamberì al lago di Bourget (o Borghetto), per Aix (o Bagni d'Aix)
  97. Strada provinciale da Albert-Ville a Ciamberì, per Monmeliano e Gresi
  98. Strada provinciale da Albert-Ville a Moutiers, per Conflans e Cevins
  99. Strada provinciale da Albert-Ville a Ginevra, per Ugine, Faverges e Marlens
  100. 100,0 et 100,1 Strada provinciale da Moutiers a Ginevra, per Albert-Ville ed Annesì
  101. Strada provinciale per le tappe militari da Albert-Ville a Ginevra, per Ugine, Faverges, Duingt, Annesì, San Giuliano, Carouge e Ginevra
  102. Strada provinciale da Albert-Ville a Bonavilla, per Ugine, Megeva, Flumet e Sallanches
  103. Strada provinciale da Albert-Ville in Moriana, per Conflans e la Croce di Acquabella
  104. Strada provinciale da San Giovanni di Moriana ad Albert-Ville, per Acquabella e Ayton
  105. Cet axe semble intégralement se situer dans l'arrondissement de la Haute Savoie (c'est-à-dire en dehors de l'arrondissement de la Maurienne), à moins qu'il y ait quelques hectomètres parcourus de part et d'autre de la rive.
  106. Strada provinciale da Moutiers ad Albert-Ville, per Acquabianca
  107. Strada provinciale da Moutiers a Bosel, per la Petraria
  108. Strada provinciale da Moutiers a Bonavilla, per Ayme, Borgo San Maurizio (o Borgo San Morizio) e San Gervasio
  109. Strada provinciale da Moutiers in Aosta, per Borgo San Maurizio (o Borgo San Morizio), Saint-Germain e Piano San Bernardo
  110. Strada consortile della Rocchette (o nella Valle della Rocchette) (ouverture partielle projetée en 1857)
  111. Strada consortile della Chautagne
  112. Nous n'avons pas trouvé de document certifiant la date d'ouverture de la route consortiale et sa localisation ; on ne sait pas s'il s'agit seulement de l'ex-RD3 (73), ou bien des sections des ex-Gc12 (73) et ex-Ic52 (73).
  113. 113,0 et 113,1 Strada consortile di Beauges (Premier tronçon dans l'arrondissement du Genevois prévu dès 1855 pour une ouverture projetée à partir de 1865)
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