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EN SAVOIR PLUS

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Présentation[]

  • La ligne Tarascon - Sète-Ville (Ligne n°810 000 du réseau ferré national) est une voie ferrée française qui dessert Nîmes et Montpellier jusqu'à la gare de Sète-Ville en direction de Bordeaux et de Port-Bou.
  • C'est l'une des voies ferrées les plus anciennes de France. Elle existe en tant que telle depuis 1858, par la mise en communication de plusieurs lignes préexistantes appartenant à des compagnies indépendantes, ce qui explique qu'elle comporte plusieurs terminus abandonnés (Beaucaire, Nîmes, Montpellier et Sète).
  • Depuis 1985, la ligne Tarascon - Sète-Ville constitue dans le cadre de l'AGC, la ligne ferroviaire européenne E90 du réseau ferroviaire européen. Elle constitue également depuis 1991, dans le cadre de l'AGTC, la grande ligne de transport international combiné C-E90 des lignes de chemin de fer du réseau de transport international combiné. Dans le cadre du RTE-T, cette ligne appartient au corridor européen n°6, ou RFC 6 (corridor méditerranéen ou Méditerranée) depuis 2013.
  • Parmi les trains de prestige rapides qui ont existé, le Catalan Talgo était un train Trans-Europ-Express qui a circulé dans le cadre de la relation entre Barcelone et Genève de 1969 à 2010.

Relation Tarascon - Cerbère-Port-Bou[]

  • La ligne de Tarascon à Cerbère / Port-Bou (Espagne) est l'artère majeure du réseau ferré languedocien et roussillonnais. D'une longueur de 280 kilomètres, elle dessert ainsi tout l'arc languedocien et roussillonnais et ses villes principales : Nîmes, Montpellier, Béziers, Narbonne et Perpignan. Elle est le lien le plus utilisé au niveau ferroviaire entre l'Europe et l'Espagne.
  • La forte hausse du trafic entre la péninsule ibérique et l'Europe a mené à la saturation de la ligne dans certaines zones, notamment sur Nîmes - Montpellier. Ainsi il est prévu de doubler l'intégralité de la ligne par une ligne à grande vitesse (LGV), qui a été divisée en plusieurs tronçons en raison des coûts énormes de construction :
  • Le Plan de Déplacements Urbains de l'Agglomération Perpignan Méditerranée prévoyait la construction d'une nouvelle halte ferroviaire à Technosud - Université au sud de Perpignan à l'horizon 2015, ainsi que l'établissement d'une navette cadencée toutes les 40 minutes aux heures de pointe sur le trajet Villefranche de Conflent - Perpignan (Ligne Perpignan - Villefranche-Vernet-les-Bains) - Elne.

Historique[]

Déclarations d'utilité publique[]

Conventions de concession[]

Ouvertures[]

  • 08 03 1839 : section Montpellier (Gare de Cette[3]) - Cette-Est (service voyageurs)
  • 19 08 1840 : section Beaucaire (Embarcadère) - Nîmes (Embarcadère)
  • xx 08 1840 : section Montpellier (Gare de Cette[3]) - Cette-Est (service marchandises)
  • 09 01 1845 : section Nîmes-Courbessac - Montpellier (service voyageurs) (double voie)
  • 01 07 1845 : section Nîmes-Courbessac - Montpellier (service marchandises) (double voie)
  • 17 07 1852 : section Tarascon - Beaucaire (double voie)
  • 01 07 1858 : section Cette-Est - Cette-Ville[3]
  • xx xx 1932 : saut-de-mouton de Tarascon
  • 25 03 2013 : raccordement direct de Nîmes (Viaduc de Courbessac)

Fermetures[]

  • 09 01 1845 : embranchement de l'ancienne gare de Nîmes-Embarcadère (service voyageurs)[8]
  • 09 01 1845 : embranchement de l'ancienne gare de Montpellier-Cette (tout trafic)
  • 17 07 1852 : embranchement de l'ancienne gare de Beaucaire-Embarcadère (service voyageurs)[9]
  • 01 07 1858 : embranchement de l'ancienne gare de Cette-Embarcadère (service voyageurs)[10]
  • xx xx 1955 : embranchement de Tarascon permettant l'arrêt en gare sur le trajet Lyon - Marseille (service voyageurs)

Élargissements[]

  • 20 07 1853 : section Beaucaire - Nîmes (seconde voie)
  • 23 08 1866 : section Montpellier - Cette-Ville (seconde voie)

Électrifications[]

  • 31 10 1947 : section Nîmes - Sète (1500V CC)
  • 11 05 1960 : section Tarascon - Nîmes (1500V CC)

Concessionnaires[]

  • 29 06 1833 : Cie du chemin de fer d'Alais (section Beaucaire-Embarcadère - Nîmes-Embarcadère) Lien
  • 12 05 1836 : Cie des mines de la Grand'Combe et des chemins de fer du Gard (section Beaucaire-Embarcadère - Nîmes-Embarcadère) Lien[11]
  • 09 07 1836 : Société anonyme du chemin de fer de Montpellier à Cette (section Montpellier-Gare de Cette - Sète-Est) Lien
  • 24 07 1843 : Cie du chemin de fer de Marseille à Avignon (section Tarascon - Beaucaire) Lien
  • 01 11 1844 : Cie fermière du chemin de fer de Montpellier à Nîmes (section Nîmes-Courbessac - Montpellier) Lien1 Lien2
  • 21 06 1846 : Cie du chemin de fer de Bordeaux à Cette (section Sète-Est - Sète-Ville) Lien
  • 28 12 1847 : Aucun (section Sète-Est - Sète-Ville) Lien
  • 08 07 1852 : Cie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée (section Tarascon - Sète-Est) Lien[12]
  • 24 08 1852 : Cie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne (section Sète-Est - Sète-Ville) Lien1 Lien2
  • 19 06 1857 : Cie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (section Tarascon - Sète-Est) Lien[13]
  • 01 01 1938 : SNCF Lien[14]
  • 01 01 1997 : RFF Lien
  • 01 01 2015 : SNCF Réseau Lien

Tableau des concessions (avant la création de la SNCF)[]

Section 1833 1836 1843 1844 1846 1847 1852 1857
Tarascon - Beaucaire Marseille - Avignon
24 07 1843 [1]
LM
08 07 1852 [2]
PLM
19 06 1857 [3]
Beaucaire - Nîmes Alais
29 06 1833 [4]
Grand'Combe & Gard
12 05 1836 [5]
Nîmes - Montpellier Montpellier - Nîmes
01 11 1844 [6] [7]
Montpellier - Sète-Est Montpellier - Cette
09 07 1836 [8]
Sète-Est - Sète-Ville Bordeaux - Cette
21 06 1846 [9]
Aucun
28 12 1847 [10]
Midi
24 08 1852 [11] [12]
Légende des couleurs
Vert Concession à une grande compagnie
Jaune Concession à une compagnie primitive

Gares[]

  • 1839 : L'ancienne gare de Montpellier (gare voyageurs de Cette), a été utilisée de 1839 à 1852. La gare actuelle de Montpellier-Saint-Roch (anciennement Montpellier gare voyageurs de Nîmes, puis Montpellier-PLM) a été construite en 1845.
  • 1839 : L'ancienne gare de Cette a été utilisée de 1839 à 1858. La gare actuelle, commune aux compagnies Midi et PLM, a été construite lors de la jonction des deux réseaux qui s'en partageaient l'utilisation. Elle a été détruite en 1860 lors de la construction du nouveau canal mais le reste de l'ancien raccordement subsiste et appartient désormais à la Ligne La Peyrade-Bifurcation - Sète-Méditerranée.
  • 1840 : L'ancienne gare de Beaucaire (Embarcadère) a été utilisée de 1840 à 1852, avant d'être réutilisée par le fret jusqu'à la fin du XXe siècle comme terminus de la Ligne Le Martinet - Beaucaire. La gare actuelle de Beaucaire a été construite en 1852.
  • 1840 : L'ancienne gare de Nîmes (appelée Embarcadère), a été utilisée de 1840 à 1845. La gare actuelle de Nîmes a été construite en 1843 sur un remarquable viaduc maçonné et fortement remaniée en 1947. Il reste de l'ancienne gare un pavillon d'accès miraculeusement préservé et classé Monument Historique, son jumeau ayant été détruit en 1978-1979 pour construire un carrefour giratoire...
  • 1852 : La gare de Tarascon était remarquable par sa configuration en triangle. Le saut-de-mouton de jonction Nord sur la Ligne Paris-Lyon - Marseille-Saint-Charles est mis en service le 27 avril 1932. Jusqu'en 1955, il existait un embranchement complexe permettant l'arrêt des trains sur la Ligne Paris-Lyon - Marseille-Saint-Charles. Sa configuration particulière et ses croisements à niveau ont eu raison de son utilisation juste avant que la ligne ne soit électrifiée.
  • 21 05 1982 : Montpellier (rénovation lourde)
  • 31 03 2005 : Montpellier-Saint-Roch (renommage)
  • 11 12 2011 : Les Mazes-le-Crès (fermeture)
  • 18 06 2013 : Montpellier-Saint-Roch (rénovation lourde, première phase)
  • 15 12 2013 : Baillargues (aménagement en pôle multimodal)
  • 02 12 2014 : Montpellier-Saint-Roch (rénovation lourde, seconde phase)
  • 15 12 2019 : Nîmes-Pont-du-Gard (ouverture théorique)
  • 20 12 2019 : Nîmes-Pont-du-Gard (ouverture réelle suite à une grève à la SNCF)
  • 202x : déplacement de la gare de Frontignan

Caractéristiques[]

  • Écartement des voies : 1,435 m (écartement normal)
  • Nombre de voies : 2
  • Tension : ligne électrifiée (continu / 1500 V)
  • Liste des sous-stations :
    • Firminelles (pK 10.819) : connectée au réseau 63 kV de RTE - délivre une tension de 1,5 kV
    • Nîmes (pK 25.900) : 63 - 1,5 kV
    • Vestric (pK 40.988) : 63 - 1,5 kV
    • Lunel-Viel (pK 56.892) : 63 - 1,5 kV
    • Castelnau (pK 73.215) : 63 - 1,5 kV
    • Mireval (pK 89.319) : 63 - 1,5 kV
    • Sète (pK 104.750) : 63 - 1,5 kV
  • Signalisation : Block automatique lumineux (BAL)
  • Gradient maximal :
Section(s) de la ligne Pente Rampe
Tarascon - Beaucaire 6 ‰ -
Beaucaire - Manduel-Redessan 3,5 ‰ 9 ‰
Manduel-Redessan - Grézan 3,5 ‰ 3,5 ‰
Grézan - Nîmes 4,2 ‰ 5 ‰
Nîmes - Saint-Césaire 2,7 ‰ -
Saint-Césaire - Aigues-Vives 4,5 ‰ 4 ‰
Aigues-Vives - Lunel 5 ‰ -
Lunel - Les Mazes-le Crès 4,6 ‰ 5 ‰
Les Mazes-le Crès - Montpellier 3,5 ‰ 3,5 ‰
Montpellier - Sète 6,1 ‰ 6,1 ‰
  • Vitesse maximale : 160 km/h
  • pK début : 0,000 (de Tarascon)
  • pK fin : 106,000

Tableau récapitulatif des raccordements de la ligne[]

N° de ligne Ligne ou raccordement ferroviaire pK début pK fin Longueur
810 310 Raccordement de Jonquières 0.000 2.621 2,621 km
810 315 Raccordement de Nîmes-Alès 0.000 1.053 1,053 km
810 506 Voies de port de Sète-Ville 0.000 3.402 3,402 km
810 606 Voie-mère de la zone industrielle de Saint-Césaire 0.000 1.100 1,1 km
810 611 Voie-mère du Lantissargues 0.000 0.753 0,753 km
810 616 Voie-mère de Montpellier-Arènes 0.000 1.045 1,045 km

Matériel roulant[]

  • A compléter

Notes et références :
  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Utilité reconnue de fait avec la concession.
  2. Approbation du tracé le 19 10 1835 Lien.
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 et 3,5 S'écrit Sète depuis 1926.
  4. Suite à l'ouverture d'un crédit permettant de financer les travaux sur cette section.
  5. 5,0 et 5,1 Devient caduque le 28 12 1847, suite à la dissolution de la Compagnie du Chemin de fer de Bordeaux à Cette.
  6. Section construite par l'État.
  7. Exploitation de facto par la SNCF.
  8. L'embranchement de Nîmes est toujours utilisé comme voie de service mais n'apparaît pas dans la nomenclature.
  9. L'embranchement de Beaucaire a été intégré à la Ligne Le Martinet - Beaucaire, exploité pour le fret jusqu'à la fin du XXe siècle et finalement retranché en 2002.
  10. L'embranchement de Sète est devenu la Ligne La Peyrade-Bifurcation - Sète-Méditerranée et est toujours exploité pour le fret.
  11. Reprend la concession précédente.
  12. Rachat des différentes compagnies par le Lyon-Avignon, alors renommé Lyon-Méditerranée.
  13. Fusion de plusieurs compagnies.
  14. Fusion des anciennes grandes compagnies.

Tracé[]

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Légende de la carte ou du tableau
En rouge clair Ancien terminus à Beaucaire intégré à la Ligne Le Martinet - Beaucaire (retranché).
En vert clair Anciens terminus à Nîmes et Montpellier.
En marron Voie ferrée en service (voyageurs et fret).
En marron clair Ancien terminus à Sète devenu Ligne La Peyrade-Bifurcation - Sète-Méditerranée (fret seulement).
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En rouge clair Ancien terminus à Beaucaire intégré à la Ligne Le Martinet - Beaucaire (retranché).
En vert clair Anciens terminus à Nîmes et Montpellier.
En marron Voie ferrée en service (voyageurs et fret).
En marron clair Ancien terminus à Sète devenu Ligne La Peyrade-Bifurcation - Sète-Méditerranée (fret seulement).
Notes  : Arrêt/halte ferroviaire de voyageurs en service
 : Ancien(ne) arrêt/halte ferroviaire de voyageurs désaffecté(e)
 : Gare/station ferroviaire de fret et de voyageurs en service
 : Gare/station ferroviaire de voyageurs en service
 : Ancienne gare/station ferroviaire de fret/voyageurs désaffectée
 : Gare de fret (marchandises)/de triage
Les gares TGV sont indiquées par le symbole .
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Parcours actuel[]

De Tarascon à Sète-Ville[]


Notes et références :

Raccordement de Jonquières[]

  • Le raccordement de Jonquières constitue la ligne n°810310 du réseau ferré national. Relié au Contournement Nîmes-Montpellier, il est à double-voie pour desservir la gare d'Avignon-Ville en provenance de Montpellier. Il a été mis en service le 11 décembre 2017.
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En marron Voies ferrées classées dans le réseau national.
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Raccordement de Nîmes-Alès[]

  • Cet ouvrage, d'une longueur totale de 1.100 m, qui prend naissance qu'à 900 mètres de la Gare Nîmes-voyageurs, enjambe en partie les faisceaux de voies du dépôt SNCF de Nîmes et de l'artère littorale Tarascon-Sète et évite le rebroussement des TER Nîmes-Alès au triage de Nîmes-Courbessac. Il constitue essentiellement le raccordement de Nîmes-Alès classé dans le réseau ferré national en tant que ligne n°810315.
  • Cet ouvrage a été érigé, non pas à Nîmes-Courbessac, mais à hauteur des rues Pitot, Jean Bouin et Jules Verne (à moins de 50 mètres du stade de même nom et qui fut pendant des générations le stade mythique du Nîmes Olympique).
  • Le coût de cet ouvrage d'art est estimé à 37,3 millions d'euros.
  • Les travaux ont débuté en avril 2010, une fois que toutes les expropriations furent réalisées. RFF a ainsi démoli une dizaine de maisons. Des investigation archéologiques furent ensuite entamées (en raison du passage de l'aqueduc antique venant d'Uzès, passant au Pont du Gard et aboutissant au Castellum). Après de multiples contretemps dans la conception du viaduc et les expropriations, l'achèvement de l'ouvrage était repoussé à 2012 puis 2013.
  • Le gain de temps annoncé par RFF était en théorie d'environ 8 minutes, dans la mesure où le rebroussement de tous les trains Nîmes-Alès est supprimé. Ces chiffres était contestés par certaines associations de riverains soutenus par la municipalité de Nîmes. En pratique, ce gain ne s'applique qu'aux trains directs entre Alès et Nîmes. Suite à la création de nombreux arrêts ferroviaires entre ces deux villes, il est dans les faits quasiment nul pour une majorité de trains.
  • D'autre part, le Viaduc de Courbessac permet, un gain en sillons, dans la mesure où le rebroussement imposait naguère un cisaillement des voies dans le sens Alès-Nîmes. Avant la mise en service de la LGV CNM, l'artère Nîmes-Montpellier (sur la ligne classique Tarascon - Sète-Ville comptait parmi l'une des plus chargées de France, d'où un intérêt non négligeable afin de développer les circulations de voyageurs et de marchandises. La contrepartie est que tous les trains de l'axe Nîmes-Alès seront obligés de circuler, dans les deux sens, sur une seule voie (la voie Tarascon-Sète ou V1) dans un goulet de 900 m en approche de Nîmes-voyageurs.
  • Parmi les alternatives au viaduc, des associations proposaient de permettre aux TER Nîmes-Alès-Nîmes d'utiliser la voie dite 104. Ce qui, selon elles, aurait permis d'économiser de nombreux sillons y compris par les engins en entrée et sortie du Dépôt ou du Centre de maintenance de Nîmes (Dépôt/Sernam) obligés eux aussi de cisailler constamment l'artère littorale et d'emprunter celle-ci (surtout la voie V1). Toujours, selon ces associations, une telle perspective aurait permis d'exploiter le point de rebroussement dit de Courbessac en créant des points d'arrêt supplémentaires éventuellement intégrables dans un train-tram. Cet aménagement des voies ferroviaires existantes, tout en évitant les cisaillements de l'artère littorale, aurait désenclavé tout un secteur de la ville de Nîmes mais aussi et surtout aurait apporté immédiatement aux usagers des TER Nîmes/Alès/Nîmes la possibilité de réduire concrètement (par ces nouveaux accès) les durées et coûts (tous vecteurs compris) des déplacements entre leurs habitations et diverses destinations.
  • La mise en service de cet ouvrage est finalement intervenue le 25 mars 2013. Il est inauguré le 11 avril 2013.

Caractéristiques

  • Écartement des voies : 1,435 m (écartement normal)
  • Tension : non électrifié
  • Signalisation : Block automatique lumineux sur voie banalisée (BAL VB)
  • Gradient maximal :
Section(s) de la ligne Pente Rampe
Raccordement de Nîmes-Alès - 26,7 ‰
  • Vitesse maximale : 70 km/h
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En marron Voie ferrée classée dans le réseau national.
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Voies de port de Sète-Ville[]

  • Les voies de port de Sète-Ville constituent la ligne n°810506 du réseau ferré national.
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En marron Voies ferrées classées dans le réseau national.
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    • ---- Ligne Tarascon - Sète-Ville
  • Port de Sète-Ville


Voie-mère de la ZI de Saint-Césaire[]

  • La voie-mère de la zone industrielle de Saint-Césaire constitue la ligne n°810606 du réseau ferré national.
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En marron Voie ferrée classée dans le réseau national.
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Voie-mère du Lantissargues[]

  • La voie-mère du Lantissargues constitue la ligne n°810611 du réseau ferré national.
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Voie-mère de Montpellier-Arènes[]

  • La voie-mère de Montpellier-Arènes constitue la ligne n°810616 du réseau ferré national.
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Parcours historique[]

À Montpellier[]

À Nîmes[]

Ouvrages d'art[]

Tunnels[]

    • Beaucaire (tête côté Tarascon : pK 5.225) : 300 m
    • Polygone (tête côté Tarascon : pK 7x.xxx) : 440 m

Ponts et Viaducs[]

    • Viaduc sur le Rhône (pK 0.474) : 596 m
    • Viaduc de Nîmes (pK 26.850) : 1669 m
    • Viaduc du Vidourle (pK 49.242) : 240 m

Graphiques[]

Remerciements à Rail21.

Plan de la ligne[]

Plan de la ligne Tarascon - Cerbère

Profil en long[]

Profil en long de la ligne Tarascon - Cerbère ; Section Tarascon - Narbonne

Voir Aussi[]

Notes et références[]


Liens internes[]

Articles Connexes[]

Liens Externes[]